+++28/07 - BLACK LIVES MATTER EST UNE RÉVOLUTION BOLCHEVIQUE
ET
QUI MAINTIENT L’ÉQUILIBRE DU MONDE ?
D'énormes vérité sur le 11 septembre*
La Russie a sauvé Paris de la destruction**
D'énormes vérité sur le 11 septembre*
La Russie a sauvé Paris de la destruction**
Lundi 20 juillet 2020
Operation Disclosure par David K. Lifschultz, Auteur invité
Les propositions de Black Lives Matter pour les
Etats-Unis sont une étape préliminaire d’un projet révolutionnaire visant à
renverser le gouvernement des Etats-Unis. Le programme consiste à poignarder
dans le dos la police, qui est la première ligne de défense de la société, en
retirant le financement de la police avant de l’éliminer et de la remplacer par
des travailleurs sociaux.
Leur stupidité est risible, mais les médias sous
contrôle des financiers et oligarques Trotskystes le montent en épingle comme
ils l’ont fait avant la Révolution Bolchevique. Cela a produit une
démoralisation massive des services de police des Etats-Unis comme nous avons
pu le constater à New York, Minneapolis et Seattle où la police s’est contentée
de regarder les émeutiers et les pillards détruire et piller les propriétés
privées et publiques. Par conséquent, la garde nationale et l’armée doivent
être elles-aussi démoralisées, ce qui anéantit la capacité de la société de se
défendre elle-même.
Ce programme révolutionnaire est examiné en détail dans la partie ci-dessous intitulée : "Qui contrôle l’Equilibre du Pouvoir dans le Monde" consacrée à la Révolution Bolchevique.
Genou à terre, certains policiers américains montrent leur
soutien aux manifestants
Ce programme révolutionnaire est examiné en détail dans la partie ci-dessous intitulée : "Qui contrôle l’Equilibre du Pouvoir dans le Monde" consacrée à la Révolution Bolchevique.
George Soros, un agent des Rothschild, finance
cette révolution tout comme les Rothschild ont financé la Révolution
Bolchevique par leur agent Parvus*. Dans un de ses livres, George mentionne
qu’une personne l’a fait entrer aux Etats-Unis. Cette personne dirigeait les
Etats-Unis pour le compte du Baron Edouard de Rothschild et de ses successeurs.
Cette personne donnait ses instructions à Paul Volcker pour instaurer mon plan
anti-inflation en 1979 qu’on m’a demandé de rédiger en tant que faveur. J’ai
demandé à George pourquoi il révélerait son nom et il est devenu blanc comme un
linge tout comme son épouse. Puis j’ai poursuivi en disant que je pourrais
résumer ses onze bouquins en deux mots. Il m’a demandé lesquels et j’ai répondu
libre arbitre. Il a répondu que c’était une simplification outrancière. Cela
s’est passé à la Soirée de Huggy Bear dans les Monts Hampton**. Il était désolé
que la magnifique joueuse de tennis de Lazard qui m’accompagnait, et qui jouait
dans l’US Open contre Lindsay Davenport, n’ait jamais plus été invitée dans sa
propriété des Hampton pour jouer des parties en double avec lui bien qu’elle
ait été une visiteuse régulière qui prenait son déjeuner à la table des
célébrités.
*Israel
Lazarevich Gelfand dit Alexandre Parvus, né à Berazino (Bierézan), Russie impériale (maintenant Biélorussie)
le 8 septembre 1867 – mort à Berlin le 12 décembre 1924, est un révolutionnaire et homme politique russe et
un social-démocrate allemand.
Wikipédia
**Lieu de
villégiature des riches Américains de la côte est. (NdT)
Une organisation associée à Black Lives Matter, le
Movement for Black Lives, ou M4BL, appelle à abolir les polices et les prisons.
Elle milite aussi pour une « restructuration progressive du code des
impôts au niveau local, de l’état et fédéral pour garantir une redistribution
radicale et durable des richesses ». Une autre exigence du M4BL est
« la décriminalisation rétroactive, la libération immédiate et
l’effacement des casiers judiciaires pour tous les délits de drogue et de
prostitution et des réparations pour l’impact dévastateur de la « guerre à
la drogue » et de la criminalisation de la prostitution ».
Cependant, il s’agit du stade révolutionnaire de la
Révolution Marxiste et non du stade définitif comme nous le voyons avec Fidel
Castro. Ce dernier était un vigoureux opposant à la prostitution et aux drogues
qui vont de pair étant donné que la prostitution sert souvent à financer
l’achat de drogue. Fidel affirmait qu’à Cuba toutes les femmes « en
avaient suffisamment pour couvrir leurs besoins » et n’avaient pas besoin
de recourir à la prostitution pour y parvenir. Voyez ses commentaires
suivants sur Cuba :
Mais le problème est réapparu au début de 1990 avec
une aggravation de la misère économique pour les habitants, et l’ouverture au
tourisme qui a provoqué un afflux de touristes étrangers. « La situation était très délicate », a
déclaré Fidel Castro, dans ce qui n’était que sa seconde allusion à la
prostitution en public à la suite d’un discours de janvier 1998, discours dans
lequel il a déclaré la guerre à divers vices en progression, y compris la
prostitution, les drogues et les crimes violents. « Il y a des gens qui venaient ici avec des
idées de tourisme sexuel … Il y a eu des cas de ce que nous appelons
« jineterismo », dit-il, en utilisant un terme d’argot Cubain pour tapinage
sur la voie publique et prostitution.
Il n’est pas non plus surprenant de découvrir que de grandes entreprises soutiennent Black Lives Matter tout comme de grandes entreprises à Moscou avant la Révolution Bolchevique soutenaient Trotsky et Lénine comme on l’examinera dans l’étude ci-dessous. Ces hommes d’affaires Trotskystes sont les mêmes traîtres qui aux États-Unis ont manipulé les classes inférieures dans leur haine de classe en délocalisant leur production et détruisant quasiment tous les bons salaires industriels. Ils sont liés aux financiers Trotskystes de Wall Street dans une combinaison détestable. Étant donné que les financiers comme les Rothschild en sont à l’origine, les devises étaient manipulées par des taux flottants afin que les nations exportatrices vers les États-Unis ne voient pas leurs monnaies s’apprécier pour annuler la différence de salaire.
Il n’est pas non plus surprenant de découvrir que de grandes entreprises soutiennent Black Lives Matter tout comme de grandes entreprises à Moscou avant la Révolution Bolchevique soutenaient Trotsky et Lénine comme on l’examinera dans l’étude ci-dessous. Ces hommes d’affaires Trotskystes sont les mêmes traîtres qui aux États-Unis ont manipulé les classes inférieures dans leur haine de classe en délocalisant leur production et détruisant quasiment tous les bons salaires industriels. Ils sont liés aux financiers Trotskystes de Wall Street dans une combinaison détestable. Étant donné que les financiers comme les Rothschild en sont à l’origine, les devises étaient manipulées par des taux flottants afin que les nations exportatrices vers les États-Unis ne voient pas leurs monnaies s’apprécier pour annuler la différence de salaire.
Étant donné que les oligarques financiers
contrôlent les banques centrales, les flottements impurs ont été sanctionnés.
En fait, quand j’ai demandé à une jeune femme que je connaissais à la Réserve
Fédérale de New York pourquoi l’achat par les Japonais de dollars Américains
dans une opération de flottement impur n’était pas pris en compte comme le
facteur le plus important dans la détermination du taux de change dans les
rapports hebdomadaires de la Fed de New York, elle a dit que c’était un bon
point à examiner et qu’elle en parlerait à William J. McDonough*. Elle m’a
répondu par la suite qu’elle avait été choquée qu’il refuse d’en discuter en
disant que cela n’avait pas d’importance. J’ai rencontré Bill par la suite et
lorsque je lui ai posé la question sur les flottements impurs, il a affirmé que
les montants étaient insignifiants par rapport au montant des échanges de
devises étrangères sur les marchés qui représente aujourd’hui 6.600 milliards
de dollars, ce qui était une réponse absurde étant donné que le montant des
transactions n’a rien à voir avec le déséquilibre entre les devises, mais le
déficit oui. Il s’est montré très effrayé et bouleversé.
*William Joseph
McDonough (né à Chicago le 21 avril 1934 et mort à
Waccabuc (État de New York) le 23 janvier 2018)
est un banquier américain,
président de la Réserve fédérale de New York entre
1993 et 2003. Wikipédia
Mais ces ennemis du peuple Américain non seulement
encourageaient les flottements impurs comme s’il ne suffisait pas qu’ils
détruisent les emplois des Américains en les délocalisant, mais ils
poignardaient dans le dos les travailleurs Américains en inondant la nation de
plus 100 millions d’immigrants légaux et illégaux dans le seul but d’abaisser
le niveau de salaire des travailleurs Américains afin qu’ils ne puissent plus
se permettre d’avoir une famille avec un seul salarié, en contraignant leurs
épouses à entrer sur le marché du travail pour survivre ce qui a encore fait
davantage baisser les salaires au nom des Droits de la femme, ce qui a ajouté
aux immigrants une nouvelle raison de maintenir des salaires bas. Le but de
donner aux femmes des salaires égaux consistait à les sortir de leurs foyers
pour entrer en concurrence contre leurs propres maris pour des emplois dont le
niveau de salaire ne cessait de baisser. C’en était fini de la période où un
seul salaire permettait d’élever une famille de plusieurs enfants.
Les immigrants noirs des états du Sud des
Etats-Unis déstabilisaient les quartiers pauvres alors que la criminalité
atteignait des taux astronomiques provoquant l’exode des blancs, chassés de
leurs foyers par les financiers Trotskystes de quartiers comme le champ de
bataille du week-end du Sud de Chicago vers les nouvelles banlieues qui
coûtaient au pays des dizaines de milliers de milliards de dollars inutiles si
la déstabilisation n’avait pas été encouragée par le Trotskysme. A présent AOC
(diminutif de Alexandria Ocasio-Cortez) veut continuer à accabler les blancs en
déplaçant les logements pauvres du Sud de Chicago vers les banlieues. Ce qui
provoquera l’insécurité dans les banlieues. Où les Anglo-Saxons seront-ils
contraints de déménager la prochaine fois par les oligarques Trotskystes ?
Même quand les époux travailleurs ne pouvaient qu’à
peine se permettre d’avoir des enfants, ce qui a provoqué les perversions
morales douteuses présentes actuellement dans la société Américaine, qui sont à
présent encouragées par les fameux Trois Trotskystes Rouges de la Cour Suprême,
Ginsburg, Breyer et Kagan. Au Sénat, les Trotskystes Levin et Lieberman se sont
chargés de baiser les forces armées.
Le mouvement Américain des Droits Civiques avait
pour but essentiel de recruter des noirs du sud pour s’installer au nord et
ainsi faire baisser les salaires des travailleurs du nord entre 1900 et 1965,
et lorsque cette agression contre les salaires des blancs du nord s’est essoufflée
lorsque le niveau des salaires s’est stabilisé, les intérêts d’affaires
Trotskystes ont utilisé comme instrument le Sénateur Trotskyste Jacob Javits*
pour faire passer la loi sur l’immigration de 1965 pour attaquer les salaires
conjoints des noirs et des blancs au nom des Droits Civiques.
*Jacob
Koppel Javits, né le 18 mai 1904 à New York et
mort le 7 mars 1986 à West Palm
Beach, est un homme politique américain.
Membre du Parti républicain, il est
successivement représentant des États-Unis (1947-1954), procureur général de l'État de New
York (1955-1957) et sénateur des États-Unis (1957-1981).
L'éditeur Trotskyste du Wall Street Journal, Robert
Bartley, m’a révélé lors d’un dîner au Harvard Club que son projet secret était
d’importer autant de noirs d’Afrique, de Latino-Américains d’Amérique du Sud et
d’Asiatiques jusqu’à ce que le niveau de salaire aux États-Unis soit équivalent
à celui de l’Afrique, de l’Amérique du Sud et de l’Asie. Son intention était de
voir le niveau de salaire s’élever en Afrique, en Amérique du Sud et en Asie à
mesure qu’ils perdaient des travailleurs au profit des États-Unis, et le niveau
de salaire baisser aux États-Unis à mesure que les États-Unis étaient inondés
d’immigrants jusqu’à atteindre un équilibre international. Cela lui était égal
que nous importions un demi-milliard de noirs d’Afrique. Nous pourrions alors
nous concurrencer à un niveau de salaire égalisé. En d’autres termes, à mesure
que les Asiatiques quittaient l’Asie, l’offre de travailleurs en Asie allait
baisser en causant une augmentation des salaires, et à mesure que les
Asiatiques arrivaient aux États-Unis, les salaires Américains allaient baisser.
Même chose pour les Africains et les Américains du Sud.
Le concept de Bartley était que les gens étaient
des formes de marchandise sans âme qu’on pouvait négocier comme des actions sur
le marché aux esclaves de Wall Street ou négocier comme du bétail (les êtres déplorables
de Hillary Clinton), et là où il y avait une pénurie de bétail aux États-Unis
nous importerions le bétail en surplus comme en Afrique. En d’autres termes,
les États-Unis importeraient des noirs comme du bétail. L’armée de réserve des
chômeurs pour les États-Unis serait constituée par les travailleurs du
tiers-monde utilisés comme une menace contre les travailleurs Américains
rebelles qui réclamaient des salaires plus élevés afin qu’ils puissent élever
une famille. En d’autres termes, l’esclave Africain importé pour être esclave
aux États-Unis est toujours importé d’Afrique comme esclave, sauf que la
nomenclature a changé d’esclave du troupeau à esclave salarié. En fait,
l’Américain noir salarié se trouve dans une position pire que sous George Washington
et Thomas Jefferson car lorsqu’il y avait une dépression économique, les
esclaves avaient toujours un toit et de la nourriture, mais les esclaves
salariés actuels et leurs familles sont jetés à la rue pour rejoindre les
sans-abris de Los Angeles et de San Francisco. Bartley a poursuivi en disant
que si les lecteurs du Wall Street Journal réalisaient quels étaient ses
desseins secrets, qui étaient ceux des Trotskystes de Wall Street, il serait
viré en tant qu’éditeur.
Comment s’étonner que l’Amérique devienne un Enfer
sur terre ?
Qui maintient l’équilibre du monde ?
Qui règne sur le congrès, qu’il soit royaliste ou
libéral ?
Qui a soulevé les patriotes sans chemise
d’Espagne ?
(Qui font « trembler et frémir » tous les
journaux de la vieille Europe)
Qui maintient le Monde, aussi bien l’ancien que le
nouveau,
Dans la douleur ou le plaisir ? Qu’est-ce qui
fait courir la politique ?
L’ombre de la noble quête de Buonaparte ?
Ou le Juif Rothschild et son homologue Chrétien,
Baring ?
Le coup d’état en Ukraine fait partie des
tentatives historiques de la part des nations Anglo-Saxonnes pour démanteler la
Russie, redoutant l’expansion géographique de l’Empire Russe. Lorsque la Russie
s’est étendue vers l’est, elle s’est rapprochée de l’Inde qui était le joyau de
l’Empire Britannique et donc les Britanniques décidèrent que le pouvoir Russe
devait être brisé. A la fin du dix-neuvième siècle, la Grande-Bretagne, par
l’intermédiaire du groupe Rothschild-Milner commença à engager les États-Unis par
le biais de leur agent banquier J.P. Morgan à rejoindre leurs intérêts
géopolitiques étant donné qu’ils ne croyaient pas qu’ils avaient suffisamment
de pouvoir pour atteindre leurs objectifs à eux-seuls. Ces connexions ont été
abondamment traitées et expliquées dans l’ouvrage de Carroll Quigley*
« Tragedy And Hope » (Tragédie et Espoir) lorsque le groupe Milner
lui a donné accès à ses archives. Ce qu’on n’a pas montré à Quigley était que
le pouvoir de la Famille Bancaire Rothschild contrôlait l’Europe, les États-Unis
et le monde par un système bancaire interconnecté grâce à l’ensemble des
banques centrales jusqu’en 1940 et qui constituaient une force substantielle
mais diminuée par la suite.
* Carroll
Quigley (9 novembre 1910, Boston - 3 janvier 1977, Washington) est un historien américain et professeur d'histoire à l'université de Georgetown de 1941 à 1976. Selon Quigley, les
puissances du capitalisme financier (1850-1932) ont pour
ambition de créer un système mondial de contrôle financier dans les mains du
secteur privé capable de dominer le système politique de chaque pays et
l'économie mondiale.
Wikipédia
La démonstration en est faite dans
« Coningsby » par Benjamin Disraeli qui l’a écrit pour convaincre les
Rothschild qu’il ne devait pas être négligé dans la compréhension de toutes
leurs techniques et s’est élevé au rang de Premier Ministre et un Rothschild
était l’un des porteurs à ses funérailles.
Voici comment fonctionne le plan directeur :
« L’abstraction, aussi difficile à comprendre
soit-elle, est la source de la pratique du pouvoir. Un financier, dont les
entreprises dans le monde sont plus abstraites que celles de tout autre
individu, est absolument plus puissant que tout autre praticien. Il peut
négocier du blé ou du coton sans avoir jamais vu l’un ou l’autre : tout ce
qu’il a besoin de savoir est si son cours va monter ou baisser ». (Lord
Bertrand Russell, extrait de « L’ABC de la Relativité »). La manière
dont le marché est contrôlé est examiné dans l’article ci-dessous
intitulé « Théorie du Contrôle Stochastique ».
Nous soulignons dans notre article intitulé
« Goethe, Faust et l’Euro » comment ces abstractions hypothétiques
ont été utilisées par les Rothschild pour s’emparer du monde entier aux cours
des dernières 250 années par l’usage financier d’hypothèses monétaires, ou
abstractions, comme l’a montré Goethe au début de la Deuxième Partie de son
« Faust ». Méphistophélès représentait Mayer Amshel Rothschild. Voici
ce que nous relate Lord Russell.
Le même Disraeli humilia la Russie au Congrès de
Vienne en l’empêchant de profiter de tout avantage de leur victoire contre les
Turcs, ce qui a provoqué cette exclamation de Bismarck concernant
Disraeli : « Der alte Jude, das ist der Mann » (Le Vieux Juif,
quel homme). Bien sûr, il bénéficiait du soutien des Rothschild qui avaient
fait de lui ce qu’il était. Disraeli prédit dans son roman
« Coningsby » la révolution de 1848 qui balaya l’Europe et porta les
Rothschild à un tel degré de pouvoir que Metternich, qui leur avait accordé les
honneurs et les avait faits Barons, dut fuir Vienne comme un vagabond
lorsqu’ils ont fait claquer le fouet de 1848 au-dessus de sa tête.
Extraits de « Coningsby » de Benjamin
Disraeli :
« Vous n’allez jamais assister à un grand
mouvement intellectuel en Europe dans lequel les Juifs ne jouent pas un grand
rôle. Les premiers Jésuites étaient des Juifs ; cette mystérieuse
Diplomatie Russe qui inquiète tant l’Europe Occidentale est élaborée et
exécutée essentiellement par des Juifs ; cette énorme révolution qui se
prépare en Allemagne en ce moment, et qui sera en fait une seconde et plus
grande Réforme, et dont on sait si peu de choses en Angleterre, est entièrement
élaborée sous l’égide des Juifs, qui monopolisent également les chaires
universitaires de l’Allemagne. Neander*, le fondateur du Christianisme
Spirituel, et qui est Professeur Extraordinaire de Divinité à l’Université de
Berlin, est un Juif. Benary, tout aussi célèbre, enseignant à la même
Université, est un Juif. Wehl, le Professeur d’Arabe de Heidelberg, est un
Juif. Il y a des années, lorsque j’étais en Palestine, j’ai rencontré un
étudiant Allemand qui réunissait des documents pour une Histoire du
Christianisme, et qui étudiait auprès du génie local, un homme modeste et
érudit. Il s’agissait de Wehl, alors inconnu, devenu entre-temps le principal
expert Arabe, et l’auteur de la vie de Mahomet. Mais pour les professeurs
Allemands de cette race, leur nom est Légion. Je pense qu’il y en a plus de dix
rien qu’à Berlin.
* August Neander, né à Gœttingue le 17 janvier 1789, mort le 14 juillet 1850, théologien protestant. Ancien
élève de Gesenius, il fut un des chefs de l'école
piétiste. D'abord juif, il se convertit, embrassa la confession luthérienne,
obtint une chaire de théologie à Heidelberg,
puis à Berlin (1812), et se fit un nom
par de savants écrits aussi bien que par son enseignement. Il influença
fortement le mathématicien Hermann
Grassmann. Les écrits de Neander décrivent l'histoire de l'Église
comme l'histoire de la piété, ils visent à l'édification personnelle. Au total
il a peu contribué à la recherche historique proprement dite, au contraire, il
a essayé, dans l'esprit du Réveil, de représenter l'histoire de l'Église comme
une démonstration éloquente de la force divine du christianisme" (Préface
de Hl. Bernhard, 1848, p. 12). Son langage simple mais puissant n'en fit
pas moins de lui un pionnier influent de la théologie du Réveil ; parmi
les étudiants en particulier, ses écrits se montraient efficaces et
contribuaient à la formation de ce qu'on appelle les « petites couronnes
d'édification ». Sa phrase « Pectus est quod facit theologum »
(Le cœur, c'est ce que fait le théologien) est devenue célèbre, et on lui doit
l'expression qui en a été tirée la « Pectoraltheologie », la
théologie des « cœurs pieux ». C'est sur elle que s'appuie la fameuse
question du Berlinois August
Tholuck, collègue berlinois de Neander, à ses disciples de
Halle : « Dans quel état se trouve votre cœur ? » Wikipédia
« Je vous ai dit que j’allais me rendre en
ville demain, parce que je me suis fixé pour règle de m’interposer lorsque les
affaires de l’Etat sont sur la table. Autrement, je n’interviens jamais.
J’entends parler de paix et de guerre dans les journaux, mais cela ne m’alarme
jamais, excepté quand je suis informé que les Souverains veulent de l’argent ;
alors je sais que les monarques prennent les choses au sérieux. Il y a quelques
années, nous y avons été contraints par la Russie. En fait, il n’y a pas
d’amitié entre la Cour de Saint Pétersbourg et ma famille. Elle a des liens
avec les Pays-Bas, qui y ont généralement suppléé ; et nos demandes en
faveurs des Juifs Polonais, une race nombreuse, mais la plus souffrante et
dégradée de toutes les tribus, n’ont pas rencontré l’agrément du Tsar.
Cependant, les circonstances ont conduit à un rapprochement entre les Romanov
et les Sidonias (pseudonyme des Rothschild dans le roman).
J’ai décidé de me rendre en personne à
Saint-Pétersbourg. J’ai eu, à mon arrivée, une entrevue avec le Ministre des
Finances Russe, le Comte Cancrin ; j’avais en face de moi le fils d’un
Juif Lituanien. Le prêt était lié aux affaires de l’Espagne ; j’ai décidé
de me rendre de Russie en Espagne. J’ai voyagé sans interruption. J’ai eu
immédiatement une audience à mon arrivée avec le Ministre Espagnol, le Senor
Mendizabel ; je suppose qu’il était, comme moi, le fils d’un Nouveau
Chrétien*, un Juif d’Aragon. En conséquence de ce que j’avais appris à Madrid,
je me suis rendu immédiatement à Paris pour consulter le Président du Conseil
de la France ; que je suppose également être le fils d’un Juif Français,
un héros, un maréchal d’Empire, et à juste titre, car que devraient être des
héros militaires, sinon ceux qui adorent le Seigneur des Armées ? Et Soult est-il un Hébreu ? Oui, ainsi que d’autres maréchaux Français, dont le
plus célèbre, Masséna, son vrai nom est Manassé, mais ce n’est qu’une anecdote.
*
L'expression de nouveau chrétien (cristiano nuevo en espagnol, cristão
novo en portugais) est employée à partir du XVe siècle pour
désigner les Juifs et
les musulmans convertis
au catholicisme dans la Péninsule Ibérique. Le terme s'entend par
opposition aux « vieux
chrétiens » dont aucun ascendant n'est censé avoir embrassé la
religion juive ou musulmane. Wikipédia
La conséquence de nos consultations fut que
certaines puissances Nordiques devraient s’impliquer d’une manière amicale
comme médiateurs. Nous nous sommes décidés pour la Prusse ; et le
Président du Conseil a fait une demande au Ministre Prussien, qui assistait
quelques jours auparavant à notre conférence. Le comte Arnim entra dans le
cabinet, et j’ai reconnu un Juif Prussien. Donc vous voyez, mon cher Coningsby,
que le monde est gouverné par des personnages différents de ceux qui sont
imaginés par ceux qui ne sont pas en coulisse ».
Voici quel était l’état du monde avant la Première
Guerre Mondiale, où le cabinet de chaque pays comportait un partisan de la
guerre comme un fanatique Slavophile Rothschild en Russie, ou un Germanophile
Rothschild en Allemagne, ou des laquais des Rothschild en Angleterre ou en
France. Le chef d’orchestre était le Baron Edouard de Rothschild* et les autres
n’étaient que des musiciens dans son orchestre qui suivaient les instructions
du chef dirigeant chaque camp du conflit. Donc, grâce à cet orchestre le Baron
créa la Première Guerre Mondiale. Plus tard, nous citerons John Buchan, le
Premier Baron Tweedsmuir, qui acquit ses connaissances en tant que Secrétaire
de Lord Milner, lui-même un agent des Rothschild. C’est le Baron Edouard qui
par l’intermédiaire du Renseignement Britannique, ordonna le massacre du Tsar
et de sa famille, dont les ordres furent exécutés par Lénine, alors que le Roi
Britannique n’était guère qu’une marionnette entre ses mains, étant donné que
tous les pouvoirs avaient été transférés plus d’un siècle auparavant aux
banquiers marchands qui agissaient comme les pouvoirs en coulisse.

Les représentants de la banque Rothschild et les
représentants de leur banquier subordonné J.P. Morgan avaient eu des réunions
avec le Président Woodrow Wilson en 1915 pour prêter de l’argent aux
Britanniques et aux Français pour l’achat de munitions par ces deux pays. Ces
ventes de guerre par ceux qui ont plus tard été appelés des marchands de mort
eurent un effet stimulant sur l’économie Américaine, ce qui a servi à justifier
les prêts. Ces énormes prêts furent approuvés étant donné que la vente de ces
munitions était considérée comme très importante pour nos exportations, mais
rencontrèrent l’opposition du Secrétaire d’État William Jennings Bryan qui
considérait que ces prêts violaient notre proclamation de neutralité et nous
entraîneraient dans la guerre, mais on passa outre son argument. Bryan
démissionna et il avait raison.
Les États-Unis vendirent à la Grande-Bretagne et à
la France pour 7 milliards de dollars de marchandises qui équivalent à
700 milliards de nos dollars actuels. Le coût de la Première Guerre
Mondiale a été de cent milliards de dollars ou 10.000 milliards de dollars
actuels. Il n’est pas logique de croire que nous avons dépensé 10.000 milliards
de dollars pour économiser nos 700 milliards de prêts. Cela ne serait pas une
bonne affaire et l’affaire de l’Amérique ce sont les affaires. Ou c’est ce que
nous pourrions penser. (La source de ce paragraphe est la « Théorie
Diabolique de la Guerre » de Charles A. Beard, bien que ces informations
ne soient pas de la théorie. Il était l’historien Américain le plus éminent à
cette époque).
Les véritables buts des Britanniques pour la
Première Guerre Mondiale (et également pour la Deuxième Guerre Mondiale)
étaient de détruire deux puissances majeures, qui étaient leur allié Russe et
leur ennemi Allemand. L’Allemagne s’était fait un ennemi de la Grande-Bretagne
en commençant à construire une grande flotte de guerre, ce qui était
intolérable pour la maîtresse des mers, à laquelle un Bismarck démissionnaire
n’avait sagement prêté aucun intérêt. Le Kaiser était intéressé par la thèse
d’Alfred Thayer Mahan qui démontre qu’une nation peut être détruite par une
théorie. Donc l’Allemagne devait être détruite. Quel meilleur moyen d’y
parvenir dans la Deuxième Guerre Mondiale que de voir s’affronter l’Allemagne
et la Russie et s’autodétruire entre elles. C’était le but du Secrétaire d’Etat
aux Affaires Etrangères de la Grande-Bretagne, Edward Grey, pour la Première
Guerre Mondiale.
C’était également le point de vue de la
Grande-Bretagne dans la Deuxième Guerre Mondiale étant donné qu’aussi bien
l’Allemagne et la Russie avaient été reconstruites par Hitler et Staline, donc
il a fallu le refaire. Le fait que la Grande-Bretagne ait envoyé du
ravitaillement à la Russie, et que par la suite les Etats-Unis aient fait de
même au cours de la Deuxième Guerre Mondiale à travers les ports de l’Alaska ne
signifiait pas qu’ils aimaient la Russie comme le faisait l’Entente au cours de
la Première Guerre Mondiale. Ils se contentaient d’utiliser la Russie comme
chair à canon et ne voulaient pas que l’Allemagne gagne mais que les deux
soient saignées à mort en laissant la division de l’Europe à la merci de ceux
qui restaient de l’Entente, soit essentiellement les Anglo-Saxons.
La Grande-Bretagne avait été un soutien précoce
d’Hitler par le biais de ses services de renseignement qui finançaient le Parti
National-Socialiste dans les années 1920 où Hitler parlait favorablement de
l’Angleterre dans « Mein Kampf » et prêtaient de grosses sommes
d’argent à Hitler en 1933 (transactions Schacht-Norman) pour reconstruire
l’Allemagne dans le but qu’elle attaque la Russie. Là-encore l’idée était de
faire d’une pierre deux coups. George Washington dans son discours d’adieu nous
a prévenu de ne pas nous mêler de ces intrigues étrangères dont traite le
prochain groupe d’articles après celui-ci.
La philosophie sous-jacente est ce qu’ils
qualifient de géopolitique largement inspirée de Halford Mackinder*. Bien que
la Grande-Bretagne régnât sur les mers, elle, ainsi que les Etats-Unis, ont eu
du mal à projeter leur puissance sur terre sur le continent Eurasien en raison
des dimensions de l’océan entre nous et si la Grande-Bretagne ne pouvait pas
rogner les ailes de la Russie avant qu’elle n’atteigne l’Inde, elle se
trouverait dans l’impossibilité de défendre l’Inde contre la puissance
continentale de la Russie. La Russie devait être détruite de l’est avant de
parvenir en Inde. Il y a une grande controverse sur cette opinion et cela a été
savamment utilisé par le Baron Edouard de Rothschild comme prétexte dans son
désir de détruire et d’éliminer le Tsar. Le Baron ne se souciait pas vraiment
des puissances Européennes mais principalement de ses propres intérêts. Le Tsar
était l’ennemi et ils allaient utiliser tous les moyens pour l’anéantir.**
*
Sir Halford John Mackinder, né le 15 février 1861 à Gainsborough (Lincolnshire)
et mort le 6 mars 1947 à Bournemouth,
est un géographe britannique,
généralement considéré comme le père fondateur de la géopolitique. Halford J.
Mackinder est né le 15 février 1861, à Gainsborough, dans le Lincolnshire,
où son père, Draper Mackinder, était médecin de son état. Il effectue ses
études secondaires à la Queen Elizabeth's Grammar School de Gainsborough (aujourd'hui Queen
Elizabeth's High School), puis au Epsom College. Pendant ses études à l'université d'Oxford, il est étudiant du Christ Church College. Il étudia tout
d'abord les sciences naturelles, se spécialisant dans
la zoologie avec Henry Nottidge Moseley, naturaliste de
l'expédition du Challenger. Lorsqu'il se
remet à étudier l'histoire, il se rend compte qu'il retourne « à un vieil
intérêt et choisit l'histoire moderne avec l'idée de voir comment la théorie de
l'évolution apparaîtrait dans le développement humain ». Il se spécialise
en tant que géographe physique, s'intéressant plus tard à l'économie et aux théories
politiques, déclarant que la géographie physique et la géographie humaine
devraient être traitées comme une seule et même discipline. Wikipédia
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**TOUTE LA FAMILLE DU TSAR NICOLAS II ASSASSINÉE. LA
PRINCESSE ANASTASIA AURAIT SURVÉCU
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Notons qu’en
même temps, côté Allemand nous avons :
* Karl Haushofer,
né le 27 août 1869 à Munich et mort par suicide le 10 mars 1946 à Pähl
(Haute-Bavière), est l'un des plus importants
théoriciens de la géopolitique allemande, qui a étérécupéré par le nazisme, bien qu'il n'ait jamais été membre du parti nazi. L'influence de Haushofer sur le corpus idéologique
nazi mis en place par Hitler à partir de 1920 se manifeste
essentiellement par l'apport de l'idée de Lebensraum.
Cependant, cet apport n'est pas perceptible immédiatement, Hitler ayant
assimilé des idées de Haushofer après sa libération à la fin de l'année
1924 ; ainsi, ce n'est qu'à partir de 1928, qu'Hitler intègre davantage la
notion d'espace vital dans la définition de ce que doit être, selon lui, une
politique étrangère national-socialiste. Parmi les étudiants de Haushofer, se trouve
notamment le jeune Rudolf Hess, futur dignitaire du régime nazi,
avec qui il se lie d'amitié.
Hess protège, jusqu'en 1941, date de son départ en Grande-Bretagne, l'épouse de
Haushofer, descendante par son père d'une vieille lignée sépharade,
et ses fils, considérés comme « quart-juifs » après la
promulgation des lois de Nuremberg. Wikipédia
L’analyse de Mackinder était que celui qui
contrôlait la masse continentale Eurasienne contrôlerait le monde. C’était la
base apparente de la Première Guerre Mondiale et le Groupe Milner-Rothschild
s’était arrangé pour que les Etats-Unis soient leur allié en s’assurant que la
masse continentale Eurasienne ne soit conquise ni par la Russie, ni par
l’Allemagne si cette dernière conquérait l’Europe et essayait de s’emparer de
l’Eurasie comme l’Allemagne a essayé de le faire après avoir vaincu la France.
Le but de l’Allemagne était de s’allier au Japon en contrôlant le continent
depuis la Manche jusqu’au Pacifique. Bien sûr, il y a eu des tonnes de
propagande mensongère pour dissimuler les véritables mobiles de l’Entente et
des Alliés de la Deuxième Guerre Mondiale, qui seraient difficiles à vendre au
public sur la base de la vérité.
![]() |
Goering |
Goering : Ils (la Grande-Bretagne et
l’Amérique) sont entrés en guerre afin que nous ne puissions pas atteindre
l’Orient (le Japon et la Chine), mais pas pour que l’Est (la Russie) n’atteigne
pas l’Atlantique.
Hitler : C’est assez évident.
Source : « Hitler et ses Généraux »,
enregistrement sténographique de conférences militaires, page 649.
Et par Staline :
Nous (Milovan Djilas et Staline) nous sommes
arrêtés en chemin vers la salle du dîner pour regarder une carte du monde sur
le mur où la Russie était colorée en rouge. Staline promena sa main sur la
Russie et dit : « Ils (les Etats-Unis et la Grande-Bretagne)
n’accepteront jamais l’idée qu’un aussi grand espace soit rouge, jamais,
jamais ! »
« Conversations avec Staline » par
Milovan Djilas, page 74.
Les mêmes idées géopolitiques sous-tendent le
conflit actuel avec la Russie.
Les États-Unis sont intervenus dans la Deuxième Guerre Mondiale pour empêcher l’Allemagne et le Japon d’unifier le continent Eurasien car cela leur aurait permis de contrôler le monde selon Brzezinski conseiller des présidents US, mais en réalité échouèrent à atteindre cet objectif lorsque la Russie et la Chine se sont alliés en 1949 en contrôlant le continent de l’Allemagne de l’Est jusqu’au Pacifique via la Chine.
Les États-Unis ont essentiellement perdu la Deuxième Guerre Mondiale et l’argent dépensé l’a été en vain. Les Etats-Unis ont opéré un renversement stratégique rapide en faisant du Japon et de l’Allemagne des alliés contre la Russie et la Chine en s’opposant à cette alliance Russo-Chinoise. Ils appelèrent cela la Guerre Froide. Les Etats-Unis sont revenus à cette position en raison de l’alliance de 2014 entre la Russie et la Chine après les avoir séparés sous Nixon. Et maintenant ils sont à nouveau ensemble. C’est tout l’enjeu du conflit actuel.
Les États-Unis sont intervenus dans la Deuxième Guerre Mondiale pour empêcher l’Allemagne et le Japon d’unifier le continent Eurasien car cela leur aurait permis de contrôler le monde selon Brzezinski conseiller des présidents US, mais en réalité échouèrent à atteindre cet objectif lorsque la Russie et la Chine se sont alliés en 1949 en contrôlant le continent de l’Allemagne de l’Est jusqu’au Pacifique via la Chine.
Les États-Unis ont essentiellement perdu la Deuxième Guerre Mondiale et l’argent dépensé l’a été en vain. Les Etats-Unis ont opéré un renversement stratégique rapide en faisant du Japon et de l’Allemagne des alliés contre la Russie et la Chine en s’opposant à cette alliance Russo-Chinoise. Ils appelèrent cela la Guerre Froide. Les Etats-Unis sont revenus à cette position en raison de l’alliance de 2014 entre la Russie et la Chine après les avoir séparés sous Nixon. Et maintenant ils sont à nouveau ensemble. C’est tout l’enjeu du conflit actuel.
Les États-Unis ont opéré une percée en 1991 lorsque
l’Union Soviétique s’est effondrée et se sont empressés de séparer l’Ukraine et
les États Baltes de la Russie ainsi que de grandes parties de l’Asie Centrale.
Et pour la première fois, la Russie fait preuve d’une grande résistance contre
toute tentative de démantèlement en ayant reconstruit son armée pour en faire
la plus puissante au monde, ce qui est expliqué en détail dans les articles
ci-dessous. Ses systèmes impénétrables de défense aérienne par missiles S-500
et S-600 ont été une avancée si dramatique que les États-Unis ne peuvent plus
être considérés comme une puissance mondiale, leur pouvoir actuel ne tenant
qu’à leur contrôle du mécanisme de paiement mondial (le CIPS qui a remplacé le
SWIFT*). Les États-Unis dans une sorte d’hystérie maniaque de sanctions liée au
déclin massif de sa puissance industrielle en comparant sa production annuelle
de neuf millions de véhicules au 29 millions produits en Chine démontre à quel
point les États-Unis sont devenus une puissance de deuxième ordre. Nous allons
maintenant examiner comment l’agression des Anglo-Saxons contre la Russie s’est
déroulée historiquement en commençant par la Russie dans la Première Guerre
Mondiale.
* Le système SWIFT de la Cabale avait été utilisé
en tandem avec le nouveau système interbancaire CIP, mais la Russie est passée au
nouveau système à minuit, du 14 au 15 février. Des dispositions ont été prises
pour remettre une énorme somme d'argent à certains groupes après le Nouvel An
Chinois, le 16 février 2018. (année du chien)
Extrait de :
Voici ce que les Alliés ont infligé à la Russie en
1918. Les Alliés comprenant la France, la Grande-Bretagne et les États-Unis poursuivaient
deux objectifs au cours de la Première Guerre Mondiale, qui étaient de détruire
la Russie et l’Allemagne. La Russie a été incitée par la ruse à entrer dans une
alliance avec la France après que le Kaiser Guillaume II ait stupidement abrogé
le Traité de Réassurance avec la Russie, provoquant deux guerres mondiales où
la seconde était en fait la continuation de la première. L’Angleterre détestait
la Russie parce qu’elle redoutait que sa frontière se rapproche trop de l’Inde
et que le pays devait être démantelé. Cela allait à l’encontre de ce que Lord
Palmerston appelait les intérêts Britanniques en expliquant que « la
Grande-Bretagne n’avait pas d’amis et d’ennemis permanents, mais seulement des
intérêts permanents ». Ce n’est pas seulement l’Allemagne qui agissait
pour détruire la Russie par l’intermédiaire de Parvus-Lénine (voir la vidéo
ci-dessous), mais les services de renseignement Britanniques, Français et
Américains (il n’existait pas d’OSS à l’époque, donc cela fut organisé
politiquement) qui opéraient en Russie en soutien des Bolcheviques pour
détruire la Russie selon l’approche décrite précédemment.
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La révolution russe. Rapport du renseignement, vendredi 13
janvier 2016. pour le bureau de Vladimir Poutine
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Le renseignement Britannique exerçait une grande
influence sur Lénine-Trotsky en les poussant à liquider le Tsar et sa famille
et la plupart des Romanov, excepté le Romanov dont je cite le livre ci-dessous.
La famille royale Britannique était intéressée par les bijoux de la belle-mère
du Grand-Duc Alexandre que les membres de la famille royale portent
jusqu’aujourd’hui. Par conséquent les services de renseignement Britanniques
ordonnèrent à Lénine de protéger le Grand-Duc Alexandre, sa belle-mère et
d’autres membres de la famille qui l’accompagnaient en Crimée où ils étaient
sous la protection personnelle de Lénine selon les ordres des Britanniques. En
d’autres termes, Lénine rendait compte à la fois au renseignement Allemand (Max
Warburg, le chef du renseignement et banquier apparenté aux Rothschild, qui
l’avait mis dans le train plombé à destination de Saint-Pétersbourg avec un
pécule en Marks-or) et au renseignement Britannique en cette période où sa
position était si précaire qu’il balançait entre les deux pour survivre. Et
Lénine reçut l’ordre de l’Angleterre de tuer le Tsar, son épouse, ses enfants
et les autres Romanov afin qu’ils ne puissent pas se retrouver autour du Tsar
déposé ou des Romanov, selon les désirs du Baron.
Voici les observations du Général Max Hoffmann, qui
était un des commandants de l’Armée Allemande sur le front de l’est, et de loin
le plus brillant, sur la manière dont l’Angleterre a traité son allié
Russe :
« En mars 1917, en ce moment de grande
difficulté, s’est déroulé un évènement affectant l’histoire du monde, et qui a
ouvert à nouveau à l’Allemagne la possibilité d’une victoire majeure – c’était
le début de la Révolution Russe. Le Tsar avait réalisé que la Russie ne
pourrait plus soutenir plus longtemps le fardeau de la Guerre, et qu’en
continuant il allait exposer l’état à de graves convulsions internes. Il
envisageait dès lors la question d’une paix séparée. En cela, il a
malheureusement oublié de prendre en considération la volonté de l’Angleterre.
L’Ambassadeur Britannique à Petrograd, Sir George Buchanan, avait reçu des
ordres pour empêcher une paix séparée de la Russie à tout prix, et il a agi en
conséquence en demandant à Kerenski* et Goutchkov** de déposer le Tsar ».
*
Alexandre Fiodorovitch Kerenski 22 avril 1881 (4 mai 1881 dans le
calendrier grégorien) – 11 juin 1970) est un avocat et homme politique russe,
membre du Parti socialiste révolutionnaire.
Après la révolution de Février, il occupa
différents postes ministériels dans les deux premiers gouvernements du
prince Gueorgui Lvov, puis prit lui-même la tête
du Gouvernement provisoire,
avant d'être chassé du pouvoir par les bolcheviks lors
de la révolution d'Octobre. Wikipédia
**
Alexandre Ivanovitch Goutchkov Moscou, 14 octobre 1862 - 14 février 1936) a été le chef de
file du mouvement octobriste, à la fin du règne
de Nicolas II, et le ministre de la Guerre et
de la Marine du premier gouvernement provisoire,
après la révolution de Février 1917. Wikipédia
Le Général Hoffmann pensait qu’il pourrait négocier
la paix avec Kerenski, et a été dupé par les ouvertures de paix de Kerenski, si
bien que les combats se sont poursuivis en 1917. A présent, nous en
arrivons à une observation très intéressant du Général Hoffmann :
« Je ne sais pas si le Quartier Général
Allemand était au courant de cette mesure (de transférer Lénine et son
entourage de Zurich en Russie, ce qui était le cas comme Ludendorff l’a reconnu
par la suite). Le Commandant en chef du front est n’en savait rien. Nous
l’avons appris des mois plus tard, lorsque des journaux étrangers commencèrent
à en faire le reproche à l’Allemagne en affirmant que nous étions les pères de
la Révolution Russe. Cette assertion est fausse, et comme la plupart de la
propagande ennemie, ne saurait être dénoncée avec suffisamment de véhémence.
Comme je l’ai dit, la Révolution Russe a été déclenchée par
l’Angleterre ».
C’est ainsi que la France et l’Angleterre ont
récompensé le Tsar pour avoir sacrifié 500.000 soldats dans une offensive au
début de la guerre pour soulager la pression sur Paris menacé par la
progression rapide de l’Armée Allemande en vertu du plan d’Alfred Graf von
Schlieffen alors que les Russes n’étaient pas prêts. Les Russes étaient entrés
en guerre sans suffisamment de puissance militaire industrielle pour
ravitailler leurs troupes et une offensive menée sur cette base était une
folie, mais le Tsar était un fou et un imbécile. En fait, il ne disposait pas
de la capacité industrielle pour entrer en guerre.
Faisons un bref aparté pour examiner le moment de
la fin de l’histoire du Tsar en tant que dirigeant, en citant le compagnon de
cellule à la Loubianka* de Léopold Trepper qui était le dirigeant de
l’Orchestre Rouge en Europe, le plus important réseau d’espionnage de la Deuxième
Guerre Mondiale, extrait de son livre le « Grand Jeu », pages
381-383 :
* La Loubianka est le nom
d'un immeuble situé à Moscou en Russie,
sur la place éponyme. Il est
célèbre pour avoir abrité le quartier général de toutes les polices
politiques soviétiques, de la Tchéka au KGB, ainsi que pour
la prison qui
s'y trouvait où furent enfermés et exécutés des centaines de prisonniers.
Depuis la dissolution de l'URSS, le bâtiment abrite
le siège du FSB,
héritier du KGB (dont le QG n'a pas changé). Wikipédia
« J’étais stupéfait (c’est Léopold qui parle).
Mon compagnon de cellule était Vitali Szulgin, le chef des Cent-Noirs. Szulgin
était couché sur le lit à côté du mien et pendant de longues heures il m’a
raconté sa vie. Au début de la guerre, les Nazis l’ont invité à
Berlin pour lui proposer de prendre part à la croisade antibolchevique. Mais
Szulgin, un réactionnaire aux sympathies fascistes et un anticommuniste de la
tête aux pieds, avait refusé. Il avait le sentiment que ces Allemands se
moquaient de savoir si la Russie était rouge ou blanche, et que leur seule
ambition était de conquérir de vastes territoires. Szulgin a passé la guerre à
vivre anonymement dans un petit village de Yougoslavie. Après la défaite des
hordes de Hitler, il a décidé de retourner en Union Soviétique. La victoire
avait réveillé son chauvinisme de la « grande Russie ». Il était
attaché à son pays natal, et voulait y terminer sa vie, même en prison. Il s’est présenté de lui-même à la mission
militaire Soviétique de Belgrade. Le jeune officier de service du NKVD regarda
avec étonnement cet homme qui voulait se constituer prisonnier. Il a consulté
la liste des personnes recherchées. Szulgin n’y figurait pas. « Vous
pouvez partir ; nous ne vous connaissons pas », dit-il. Mais Szulgin ne renonça pas ; il revint le
lendemain. Cette fois, c’est un colonel qui était derrière le bureau. (Le NKVD
comme le KGB utilisaient des grades militaires dans leur organisation). Dès que
Szulgin donna son nom, le colonel se leva, se précipita vers lui et cria en
perdant tout contrôle :
« Vous voulez dire que vous êtes Szulgin,
l’organisateurs des pogroms en Russie ». « Enfin quelqu’un qui me reconnaît », dit
l’ancien chef des Cent-Noirs, sans perdre contenance. Ils m’ont mis dans un avion pour Moscou, et lui qui
avait toujours rêvé d’être pilote eut droit à son premier voyage aérien, de
Belgrade à la Loubianka. Puis vint son interrogatoire. « Quel intérêt
de perdre votre temps avec moi ? ». Mettez-moi dans une cellule
individuelle, et j’écrirai l’histoire de ma vie et de mes crimes contre l’Union
Soviétique ». Il a rempli plusieurs centaines de pages. Chaque
fois qu’il se rendait à l’interrogatoire, la pièce était remplie d’officiers
qui venaient écouter le « récit ». Szulgin apporta une contribution
originale à l’histoire d’avant la Révolution d’octobre de la Russie. A la tête
des Cent-Noirs, il avait fait partie de la délégation qui est venue demander au
Tsar d’abdiquer. Nicolas II était plongé dans une partie d’échecs et ne voulait
pas être dérangé. Lorsqu’il a appris l’objet de leur visite, le Tsar n’a pas
cherché à cacher sa joie. « Enfin, c’est terminé ! »
*Les Cent-Noirs ou Centurie noire (en russe : Чёрная сотня, Черносо́тенцы) sont un mouvement nationaliste et monarchiste d'extrême-droite apparu dans l'Empire russe pendant la révolution de 1905.
*Les Cent-Noirs ou Centurie noire (en russe : Чёрная сотня, Черносо́тенцы) sont un mouvement nationaliste et monarchiste d'extrême-droite apparu dans l'Empire russe pendant la révolution de 1905.
« A quoi vous attendiez-vous ? ajouta
Szulgin. « C’était le plus grand imbécile de toute la dynastie ». Les idées politiques de Szulgin étaient vraiment
extraordinaires. Il abordait fréquemment son sujet favori : la grandeur de
la Russie : « Sous la direction de Staline, notre pays est devenu un
empire mondial. Il a atteint le but auquel des générations de Russes ont
aspiré. Le Communisme disparaîtra comme une verrue, mais l’empire demeurera. Il
est désolant que Staline ne soit pas un véritable Tsar ; il en a toutes
les compétences. Ah, si Staline n’était pas un Bolchevique. Vous les
communistes ne comprenez rien à l’âme Russe : le peuple a un besoin
quasi-religieux d’être guidé par un père dans lequel il peut avoir
confiance ». Szulgin mettait tous ses espoirs dans la grandeur
de l’Empire de Staline. « Je ne veux pas être relâché », dit-il.
« Parce qu’où que j’aille, je serai accueilli comme vous m’avez accueilli.
J’espère qu’ils me donneront une cellule où je pourrai continuer à écrire des
livres sur l’histoire de notre pays ». Szulgin, le fanatique antisémite, le promoteur des
pogroms, fut relâché bien avant les communistes militants. Il fut assigné à
résidence dans une datcha à la campagne, où même aujourd’hui, il poursuit son
œuvre d’infatigable chantre du régime Stalinien ».
Le lecteur peut ne pas savoir que l’auteur de ce qui précède était Léopold Trepper qui était le dirigeant de l’Orchestre Rouge, le réseau d’espionnage le plus efficace contre les Allemands en Europe Occidentale. Le réseau a été partiellement démantelé et Trepper fut capturé. Plutôt que de subir la torture, il dénonça les membres de son organisation et « s’échappa » ultérieurement. Staline le fit arrêter pour cette trahison et c’est ainsi que ce militant communiste ne fut relâché qu’après la mort de Staline. Il ne méritait pas une libération anticipée.
L'utilisation de la torture est une méthode païenne contraire aux traditions de la Bible, mais cela fonctionne. Dans l’Espagne Catholique, au cours de la Grande Inquisition, 17 conspirateurs ont été torturés dans des cellules séparées avec un scribe prenant des notes de ce que chacun disait. Et ensuite ils les comparaient. Si elles étaient identiques, elles étaient acceptées comme véridiques. Etant donné que le Christianisme en tant que religion a été détruit en Occident, la torture a été rétablie dans la plupart des pays occidentaux dans le domaine de la sécurité nationale. Il n’est dès lors pas surprenant que le massacre païen de femmes et d’enfants non-combattants ait également été rétabli à une échelle industrielle au cours de la Deuxième Guerre Mondiale.
Le lecteur peut ne pas savoir que l’auteur de ce qui précède était Léopold Trepper qui était le dirigeant de l’Orchestre Rouge, le réseau d’espionnage le plus efficace contre les Allemands en Europe Occidentale. Le réseau a été partiellement démantelé et Trepper fut capturé. Plutôt que de subir la torture, il dénonça les membres de son organisation et « s’échappa » ultérieurement. Staline le fit arrêter pour cette trahison et c’est ainsi que ce militant communiste ne fut relâché qu’après la mort de Staline. Il ne méritait pas une libération anticipée.
L'utilisation de la torture est une méthode païenne contraire aux traditions de la Bible, mais cela fonctionne. Dans l’Espagne Catholique, au cours de la Grande Inquisition, 17 conspirateurs ont été torturés dans des cellules séparées avec un scribe prenant des notes de ce que chacun disait. Et ensuite ils les comparaient. Si elles étaient identiques, elles étaient acceptées comme véridiques. Etant donné que le Christianisme en tant que religion a été détruit en Occident, la torture a été rétablie dans la plupart des pays occidentaux dans le domaine de la sécurité nationale. Il n’est dès lors pas surprenant que le massacre païen de femmes et d’enfants non-combattants ait également été rétabli à une échelle industrielle au cours de la Deuxième Guerre Mondiale.
Ils sont maintenant arrivés au point d’avoir promu
le meurtre par avortement de dix milliards d’individus, et si nous y ajoutons
la pilule du lendemain, nous avons dépassé en méchanceté n’importe quelle
nation païenne de l’histoire en ayant sanctifié le mariage sodomite. Le couple
sodomite après son mariage à West Point dans une « Eglise » passe
sous les épées lorsqu’il quitte le service.
Les nations occidentales sont à tous égards et desseins païennes et à nouveau totalement dégénérées.
Les nations occidentales sont à tous égards et desseins païennes et à nouveau totalement dégénérées.
La clé ici a été à nouveau la lutte contre le nationalisme
de Staline, celle contre l’internationalisme qui est apparu en Russie après la
mort de Staline et plus tard en 1991 celle de la destruction temporaire de la
puissance Russe comme sous les internationalistes Trotsky et Lénine.
Milovan Djilas : Sans l’industrialisation, l’Union
Soviétique n’aurait pas pu se préserver et faire la guerre. (En d’autres
termes, le socialisme dans un pays ou le national-socialisme).
Staline : C’est précisément sur ce sujet que nous
nous sommes querellés avec Trotsky et Boukharine. - Page 75 « Conversations avec Staline ».
Et à la page 154 : Milovan Djilas : Vers la fin du dîner, Staline m’a
demandé pourquoi il y avait si peu de Juifs Yougoslaves dans leur parti, à quoi
j’ai répondu qu’il n’y avait pas beaucoup de Juifs en Yougoslavie et que la
plupart appartenaient à la Classe Moyenne. « Le seul Juif éminent est
Pijade et il se considère plus comme un Serbe que comme un Juif ».
Staline : « Pijade, petit, avec des lunettes ?
Oui, je m’en souviens, il est venu me voir. Et quelle est sa position ?
Milovan Djilas : Il est membre du Comité Central,
un Communiste chevronné, le traducteur de « Das Kapital », ai-je
expliqué.
Staline : « Dans notre Comité Central, il n’y
a pas de Juifs ! » s’écria-t-il, et commença à rire. « Vous êtes
un antisémite, vous-aussi, Djilas, vous êtes un antisémite ! »
Revenons-en au Tsar après cette digression :
Le Tsar pensait qu’il devait respecter sa parole
envers la France démocratique qui le méprisait comme l’a souligné le Comte Lev
N. Tolstoï lorsque le Tsar a conclu son alliance avec la France en 1894 et qui
a été ensuite été poignardé dans le dos par la Grande-Bretagne et la France au
cours de la Révolution Bolchevique. L’habile agent de l’Okhrana qu’était
Staline a appris ces leçons qui ont échappé à des traîtres comme Gorbatchev et
Eltsine comme il a été prouvé lorsque l’Occident a rompu tous ses accords
conclus avec eux.
Staline ne voulait pas que l’Occident corrompe les Russes. Le rideau de fer :

Il est remarquable que Staline ait mis en évidence,
sur la base des enseignements Chrétiens appris au Séminaire, les enseignements
de Saint Augustin restreignant l’acte de procréation au mariage. Cela signifie
qu’il était condamné en-dehors du mariage et qu’au cours du mariage il ne
devait pas y avoir d’intention procréatrice durant la grossesse et
l’allaitement ou après la ménopause. C’est ce qu’on a enseigné à tous les
enfants à l’époque Stalinienne. Cela signifie également que tous les points de
vue contraires étaient interdits et exigeaient des Russes qu’ils n’aient pas de
contacts avec des étrangers qui pouvaient les corrompre. Par conséquent, un
cordon sanitaire fut établi autour de la Russie, ce que Churchill appelait le
Rideau de Fer, contre l’influence de sodomites de Harrow comme Churchill. C’est
ce que la Bible voulait dire que la terre d’Israël devait être séparée des
nations car elle était consacrée (Exode 19 : 5-6). Staline ne
voulait pas que l’Occident corrompe les Russes.
L’effort des Rothschild (du Baron Edouard) de
détruire le Tsar commença pour de bon même avant la Première Guerre Mondiale en
1904 lorsqu’ils ont financé la Guerre Japonaise contre la Russie en 1904 et
1905.
Mais ce qui a été la plus célèbre opération financière de Jacob Schiff* (agent du Baron Edouard de Rothschild aux Etats-Unis) s’est déroulée au cours de la Guerre Russo-Japonaise, en 1904 et 1905. Schiff rencontra en avril 1904 à Paris (dans les bureaux du Baron Edouard de Rothschild) Takahashi Korekiyo, gouverneur-adjoint de la Banque du Japon. Il augmenta par la suite les prêts à l’Empire du Japon d’un montant de 200 millions de $ (l’équivalent de 20 milliards de $ de 2016), par le biais de la banque d’affaires Kuhn, Loeb & Co.
*Jacob
Schiff était également le financier de Trotsky lorsque ce dernier a quitté les
Etats-Unis pour rejoindre Lénine à Saint Pétersbourg. NdT
Ces prêts ont été la première émission importante
d’obligations Japonaises à Wall Street,
et ont fourni approximativement la moitié des fonds nécessaires à l’effort de
guerre Japonais. (Le Baron créa Churchill* et Roosevelt pour la prochaine Guerre
Mondiale pour se débarrasser d’Hitler.
Churchill avait connu des temps difficiles après avoir perdu sa fortune en 1929, et en 1935, il ne semblait plus pouvoir se payer ses sous-vêtements et ses pyjamas en soie de Turnbull et Asser ou sa propriété de Chartwell. Et donc on l’a corrompu avec succès pour s’opposer à Hitler, bien qu’il n’ait jamais particulièrement apprécié les Juifs.
Jacob Schiff acheta l’élection au titre de Gouverneur pour Roosevelt lors de la course entre Lehman et Roosevelt en corrompant Flynn, le « Boss du Bronx » pour qu’il manipule les bulletins de vote (ça n'est pas nouveau). En Amérique, ce sont les morts qui décident des élections très disputées. Roosevelt était un nouveau pion mis en place pour le Baron par Jacob Schiff.
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Churchill avait connu des temps difficiles après avoir perdu sa fortune en 1929, et en 1935, il ne semblait plus pouvoir se payer ses sous-vêtements et ses pyjamas en soie de Turnbull et Asser ou sa propriété de Chartwell. Et donc on l’a corrompu avec succès pour s’opposer à Hitler, bien qu’il n’ait jamais particulièrement apprécié les Juifs.
Jacob Schiff acheta l’élection au titre de Gouverneur pour Roosevelt lors de la course entre Lehman et Roosevelt en corrompant Flynn, le « Boss du Bronx » pour qu’il manipule les bulletins de vote (ça n'est pas nouveau). En Amérique, ce sont les morts qui décident des élections très disputées. Roosevelt était un nouveau pion mis en place pour le Baron par Jacob Schiff.
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*Trump
assis dans le fauteuil de Churchill lorqu'il a fait capituler la reine Élisabeth
d'Angleterre.
Extrait de :
TRUMP A GAGNÉ. LE PRÉSIDENT TRUMP CONTRE LES POUVOIRS ÉTABLIS.
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Lorsque la Guerre Russo-Japonaise ne réussit pas à
détruire la Russie, le Baron déclencha la Première Guerre Mondiale et nous
avons sorti cet extrait du livre « 39 Étapes » de John Buchan en
substituant Rothschild au mot Juif :
Buchan essayait-il de révéler au lecteur dans
« 39 Etapes » quelque chose qui se trouve dans la dernière ligne de
sa dédicace, où il se réfère explicitement à des vérités plus étranges que la
fiction relatée dans ses récits d’aventure ?
Dans le premier chapitre, le protagoniste, Hannay,
est informé par un mystérieux étranger d’une « conspiration
internationale » destinée à faire s’opposer les armées de la Russie et de
l’Allemagne. Le conflit sera déclenché, explique l’étranger, par l’assassinat
du premier ministre Grec, Karolides (en réalité l’Archiduc d’Autriche).
L’étranger qui s’avère par la suite être Franklin Scudder, un agent
Britannique, poursuit en disant à Hannay que « les Rothschild » - qui
« haïssent la Russie plus que l’enfer » - sont à l’origine du
complot :
« Je vais vous révéler ce qu’il m’a dit et qui
devait être révélé au grand jour. Loin derrière tous les gouvernements et les
armées il existe un grand mouvement clandestin, organisé par des gens très
dangereux. Il était tombé dessus par hasard ; cela l’a fasciné ; il a
creusé plus loin ; et s’est fait prendre. J’ai compris que la plupart des
gens qui en faisaient partie appartenaient à la sorte d’anarchistes éduqués
(Bolcheviques) qui fomentent les révolutions, mais qu’à leurs côtés il y avait
des financiers qui jouaient pour de l’argent.
« Un homme habile peut réaliser de gros
profits sur un marché en baisse, et il convenait aux programmes des deux
classes de saisir l’Europe par les oreilles. Il me donna quelques informations
bizarres qui expliquaient beaucoup de choses qui m’avaient toujours intriguées
– des choses qui se sont passées au cours de la Guerre des Balkans, comment un
état est souvent parvenu au sommet, pourquoi des alliances avaient été conclues
et rompues, pourquoi certains hommes disparaissaient, et d’où venaient les
nerfs de la guerre. Le but de toute la conspiration était de mettre aux prises
la Russie et l’Allemagne. Lorsque j’ai demandé pourquoi, il m’a dit que les
anarchistes estimaient que cela leur donnerait une chance.
« Tout serait mis dans un creuset commun, et
ils attendaient de voir émerger un nouveau monde. Les capitalistes
ramasseraient les shékels, et feraient fortune en achetant les ruines
(L’hyperinflation des Rothschild en Allemagne après la guerre où ils avaient
gagné mille milliards de dollars). Le capital, dit-il, n’avait pas de
conscience ni d’ailleurs de patrie ; en outre, les Rothschild en étaient à
l’origine, et les Rothschild haïssaient les Russes plus que tout. « Cela
vous étonne ? » cria-t-il. « Pendant trois cents ans ils ont été
persécutés, et c’est la revanche pour les pogroms. Les Rothschild sont partout,
mais il faut descendre profondément l’escalier de service pour les trouver.
« Prenez n’importe quelle grande entreprise
Teutonique. Si vous entrez en affaire avec elle, le premier homme que vous
rencontrerez est un Prince von und zu MachinChose, un jeune homme élégant qui
parle l’Anglais d’Eton et de Harrow. Mais il ne va pas aller au fond des
choses. Si vous avez une grande entreprise, vous passez outre et vous trouvez
face à un Westphalien prognathe avec des sourcils fuyants et des manières de
cochon. Il est l’homme d’affaires Allemand qui ébranle votre vernis Anglais.
Mais si vous jouez dans la catégorie supérieure, et voulez voir le vrai patron,
je vous parie à dix contre un que vous allez rencontrer un petit Rothschild au
visage pâle dans une chaise de bain avec des yeux de serpent à sonnette. Oui,
Monsieur, il est celui qui dirige le monde en ce moment, et il a planté son
couteau dans l’empire du Tsar parce que sa tante a été outragée et que son père
a été fouetté dans un hameau de la Volga ».
Mais retraçons un peu nos étapes :
L'offensive Russe avait fait perdre ses nerfs au
Général Helmut Johannes Graf Ludwig von Moltke juste au moment où il semblait
que l’Allemagne allait gagner en transférant de gros contingents de troupes du
front ouest vers le front est, étant donné qu’il pensait qu’elles allaient y
être redirigées. C’était une énorme erreur. Cela a affaibli l’élan Allemand en violation du
principe Napoléonien de concentration des forces. Joffre a donc pu arrêter les
Allemands sur la Marne et von Moltke a dit au Kaiser : « Nous avons
perdu la guerre » avant d’être victime d’une crise de nerfs. L’offensive
Allemande sur le front occidental échoua donc. Ce n’est pas le Maréchal Joseph
Jacques Césaire Joffre qui a gagné la Bataille de la Marne mais les Russes qui ont
attiré les troupes Allemandes en Russie et qui ont servi de chair à canons
comme ils l’ont été dans la Deuxième Guerre Mondiale par les Alliés, comme nous
allons le discuter bientôt et comme on peut l’entendre sur l’enregistrement de
l’Opération Gladio où on voit James Jesus Angleton de l’OSS-CIA oeuvrer à la
fin de la Deuxième Guerre Mondiale pour présenter à nouveau la Russie comme
l’ennemi avant même que la guerre ne soit terminée.

En 1978, Pieczenik était un envoyé spécial du Président
Jimmy Carter en Italie pour contribuer à la recherche du Premier
Ministre Italien Aldo Moro.
Pieczenik, en tant que gestionnaire de crise international et négociateur
d’otages au Département
d’Etat, fut envoyé en Italie le 16 mars 1978, le jour de
l’enlèvement de Moro, et a participé aux négociations pour sa libération. Il
faisait partie du « comité de crise » dirigé par Francesco
Cossiga, le Ministre de l’Intérieur. Moro fut détenu pendant 54
jours, Pieczenik a dit que le comité était passé à l’action de peur que Moro puisse
révéler des secrets d’état pour obtenir sa liberté. La veuve de Moro, Eleonora,
a déclaré par la suite que Henry Kissinger avait averti son mari contre sa
stratégie de Compromis
Historique (en Italien : Compromesso storico). « Vous
allez le payer cher », aurait-il dit.
Une fausse déclaration, attribuée aux Brigades
Rouges, fut publiée disant que Moro était mort. Pieczenik révéla que cela avait
un double but ; préparer le public Italien au pire, et faire savoir aux
Brigades Rouges que l’état n’allait pas négocier pour Moro, et qu’il le
considérait comme déjà mort. (Cela fut interprété par le commando comme l’instruction
de liquider Moro). Moro fut abattu et placé dans le coffre d’une voiture dans
le centre de Rome, à mi-chemin entre le siège du Parti Communiste et celui des Démocrates-Chrétiens.
Dans un documentaire, Cossiga a reconnu que le comité avait pris la décision de
publier la fausse déclaration. Pieczenik affirma que Moro avait été
« sacrifié » à la « stabilité » de l’Italie. L’assassinat
final de Moro a été attribué à la CIA dans le cadre de l’Opération
Gladio par le journaliste Philip Willan.
Nous citons ceci comme comparaison avec le 11
septembre. Quelles ont été les autres activités du Dr. Pieczenik :
Pieczenik était Vice-assistant
au Secrétaire d’Etat sous Henry
Kissinger, Cyrus Vance et
James Baker.
Son expertise comprenait la politique étrangère, la gestion de crise
internationale et la guerre
psychologique. Il a servi dans les administrations présidentielles
de Gerald Ford, Jimmy Carter, Ronald Reagan et George H. W.
Bush dans la fonction de vice-assistant au Secrétaire d’Etat. (Cela
peut signifier quelque chose pour le public, mais le pouvoir à Washington à la
CIA ne réside pas chez le Directeur mais au plus profond de l’organisation.
L’axiome étant que si vous connaissez le nom d’un agent de la CIA, il n’est pas
important). Il est également assez intéressant que l’agent
très, très haut-placé de la CIA Steve Pieczenik soit allé dans l’émission
d’Alex Jones Infowars pour raconter ce qui s’est réellement passé le 11
septembre, ce qui démontre une scission au sommet avec Mueller qui a dissimulé
ce qui s’est passé le 11 septembre au FBI, ce pour quoi il avait été recruté
peu auparavant, et Pieczenik placé quarante étages au-dessus de Mueller dans la
hiérarchie révélant qui étaient les acteurs Américains du 11 septembre sur la
base d’informations d’un général Américain. Voir l’interview du 11 septembre
2018 par Owen Shroyer du Dr. Pieczenik sur Infowars sur internet ci-dessous.
- https://www.youtube.com/watch?v=M_SZWIEXuNU
- https://www.youtube.com/watch?v=M_SZWIEXuNU
- https://www.youtube.com/playlist?list=PLu-i34xPF51dH5lIhXE6floRO1ff0flTi
- https://www.youtube.com/watch?v=qyzSSnNUWnE&list=PL7vNw3eR39iZ1-DEMziDPuRCDUjETpT4w&index=563
- https://www.youtube.com/watch?v=qyzSSnNUWnE&list=PL7vNw3eR39iZ1-DEMziDPuRCDUjETpT4w&index=563
Il n’y avait pas d’Islamistes à bord de ces avions
et les registres de bord ont été falsifiés rétroactivement par la CIA pour
monter que des Arabes avaient été impliqués dans le 11 septembre mais ne
servaient que de dissimulation. Pas plus que d’implication de l’Etat Islamique
que nous avons créé nous-mêmes pour faire intervenir l’Iran en Irak étant donné
que cela opposait nos Sunnites de l’Etat Islamique à Al-Maliki et aux Chiites
afin de rétablir l’équilibre au Proche-Orient. Nos sources sont au-dessus du
Président, du Congrès et de la Cour Suprême qui ont hérité du fiasco de Cheney
qui a bâclé toute l’opération.
Ce sont eux qui ont décidé d’accuser Oussama Ben Laden (alias Colonel Tim Osman de la CIA, décédé d’une maladie du foie en
décembre 2001) comme prétexte pour envahir l’Afghanistan afin de faire
redémarrer la culture du pavot (héroïne) abandonnée par les nobles Talibans. Il
s’agissait d’un double-jeu historique comparable en infamie aux pires
opérations de la Perfide Albion (Les deux guerres de l’opium menées par les
Britanniques contre la Chine au 19ème siècle). Cela permettait de financer les
opérations extérieures des services de renseignement Américains grâce aux
profits de l’héroïne d’un montant approximatif de mille milliards de dollars et
de remplir de nombreuses poches par le contrôle de 93% de la distribution
mondiale d’héroïne.
Le fait que le Bâtiment 7 du World Trade Center
n’ait pas été frappé par un avion mais s’est tout de même écroulé était un
problème presque surhumain à expliquer.
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* D'énormes vérité sur le 11 septembre :
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Seul un idiot aura pu y croire après
cela. Voici l’enregistrement de l’Opération Gladio et celui de Steve Pieczenik.
9/11/2018 Dr. Steve Pieczenik joins Owen Shroyer on
War Room
https://www.youtube.com/watch?v=M_SZWIEXuNU
https://www.youtube.com/watch?v=M_SZWIEXuNU
L’autopilote sans interruption de Boeing est un
système conçu pour reprendre le contrôle d’un avion de ligne du pilote ou de
l’équipage. S’il est installé, le système permettrait à l’appareil d’être
automatiquement guidé vers l’atterrissage sur une piste
prévue à l’avance. L’autopilote « sans interruption » serait activé à
distance par des liens radio ou satellite par des services gouvernementaux.
Nous devons corriger certaines erreurs de Steve
étant donné que sa source est un général et non une source originale comme la nôtre.
Nous pouvons affirmer que Steve Pieczenik a tort en disant que l’ISI
(Inter-Services Intelligence – Service de renseignement Pakistanais) était
impliqué et que les Saoudiens n’étaient pas impliqués du tout. La CIA non plus
n’était pas impliquée bien qu’elle ait été chargée de la dissimulation. Le
général qui a informé Steve avait raison par ailleurs.
Le lecteur peut se demander pourquoi on a cru la
fausse Commission du 11 septembre, tout comme la Commission Warren. Le
soi-disant Président des Juges de la Cour Suprême Earl Warren entretenait des
liens avec le crime organisé en tant que Gouverneur de Californie et il était
si arrogant qu’il a levé son verre au Restaurant Toots Shore en l’honneur
d’Albert Anastasia*. Il est responsable de la destruction de tout le système
scolaire Américain. La formation des agents du Mossad inclut une réplique des
tirs de Lee Harvey Oswald sur Kennedy. Toute la scène est reconstituée comme à
Dallas en ce jour fatidique et aucun tireur d’élite des Forces Armées
Israéliennes n’a pu réitérer ses tirs. Non. Et de loin. Lorsqu’ils sont choqués
du résultat, ils demandent pourquoi à leur instructeur. Parce qu’Oswald n’a
jamais tiré sur lui ; il a été victime d’un coup monté mais le stupide
public Américain gobera tout. La vérité est que vous pouvez réussir à faire
dégénérer moralement toute une population comme l’ont fait nos Trotskystes pour
leur faire avaler n’importe quoi comme Harry Houdini l’a montré dans sa
technique de détourner l’attention dans ses tours de magie.

** Examinons la Première Guerre Mondiale du point de
vue Russe en nous basant sur le récit d’Alexandre, Grand-Duc de Russie, ancien
Inspecteur Général de l’Armée de l’Air Impériale Russe au cours de la Première
Guerre Mondiale, extrait de son livre « J’étais un Grand-Duc » que
nous citerons plusieurs fois et nous commencerons par une conversation des
pages 265 et 266 avec le Baron Anton Egorovitch Zaltsa qui était un général
Russe d’origine Allemande, un des commandants du front occidental :
« Une longue conversation avec Saltza et son
état-major m’a confronté à une situation que je trouvais anormale et qui allait
perdurer au cours des trente-six mois de combats menés par la Russie. J’ai
appris que l’armée de l’Empire Russe devait servir à la Grande-Bretagne et à la
France d’énorme pare-chocs et que les commandants orientaient leur stratégie
d’après les ordres de sauver Paris « à n’importe quel prix ». En
termes de vies humaines, cela signifiait que nous devions sacrifier environ
cinq cent mille officiers et soldats dans une offensive mal programmée sur le
front oriental dans le but de « soulager la pression contre Paris »,
une ville étrangère très éloignée dont le nom n’évoquait rien pour nos hommes
et dont le sort ultime ne signifiait rien pour l’avenir de notre pays.
Pendant que notre quatrième armée affrontait
l’offensive des Autrichiens, notre première et notre deuxième armée
envahissaient la Prusse Orientale, fonçant tête baissée dans le piège préparé
par Hindenburg. L’essentiel de la deuxième armée était composé du Corps de la
Garde Impériale, les troupes les mieux entraînées de Russie et principal
soutien du régime Impérial au cours des cinquante dernières années, désormais
voué à un massacre inévitable pour la Plus Grande Gloire de Paris. Nous avons pesté et tempêté. Tous les diplomates
auraient dû être enrôlés s’ils voulaient participer à cette guerre. Mais les
ordres étaient les ordres. Nos soldats sont morts sans broncher. La deuxième
armée cessa d’exister, son commandant, le Général Samsonoff, utilisa sa
dernière balle pour éviter l’humiliation d’être fait prisonnier.
Paris fut sauvé par une hécatombe de Russes tués sur les Marches Masuriennes en Prusse Orientale. L’humanité dans son ensemble préfère se rappeler cette bataille comme « la victoire de Joffre sur la Marne ».
Paris fut sauvé par une hécatombe de Russes tués sur les Marches Masuriennes en Prusse Orientale. L’humanité dans son ensemble préfère se rappeler cette bataille comme « la victoire de Joffre sur la Marne ».

« Battez-vous pour l’Ukrainisation immédiate
de l’Ukraine »
Ce dernier slogan – un coup de maître de la
stratégie Allemande – demande une explication. Le mot « Ukraine » se
référait à l’immense district sud-ouest de la Russie, bordé par l’Autriche à
l’ouest, les provinces Centrales au nord et le district du Don à l’est, et
Kieff (Kiev) considéré comme sa capitale, et Odessa sur la Mer Noire son port
principal pour l’exportation du blé, du maïs, du sucre, etc.
Quatre siècles auparavant, c’était le champ de
bataille d’escarmouches continuelles entre les Polonais et la bande de Cosaques
libres qui s’appelaient eux-mêmes « Ukrainiens ». Le Tsar Alexei
Michaïlovitch l’intégra sous son sceptre en 1649, et au cours des années acquit
une prospérité considérable. Catherine la Grande fut la première à comprendre
son avenir agricole et industriel. 99% de la
population parlait, lisait et écrivait le Russe, mais une petite coterie de
fanatiques insistait sur l’égalité avec la langue Ukrainienne. Ils ont été
ridiculisés dans de nombreux dessins humoristiques ; en fait, si les
montagnards du Kentucky avaient exigé l’usage de l’argot de la part des
enseignants de Louisville, cela aurait paru moins ridicule.
L’Empereur Guillaume taquinait souvent ses cousins
Russes sur le sujet, mais ce qui était une plaisanterie avant la révolution
acquit soudainement les dimensions d’un cauchemar en mars 1917. Les dirigeants du Mouvement Séparatiste Ukrainien
furent rapidement convoqués au Quartier Général Allemand et se virent promettre
un état libre, s’ils réussissaient à paralyser l’arrière-garde des Armées
Russes. Des millions de tracts inondèrent Kieff (Kiev) et
les villes environnantes. « Les Russes doivent quitter l’Ukraine »,
exigeaient les auteurs. « S’ils veulent continuer cette guerre, qu’ils se
battent sur leur propre sol ». Une délégation de nationalistes enragés partit pour
Saint Pétersbourg et demanda au nouveau Gouvernement la permission de
constituer une Armée Ukrainienne composée de soldats servant dans les divers
corps de l’Armée Russe. Même les membres les plus radicaux du Gouvernement
Provisoire ont subodoré la trahison et la menace de faire exploser l’armée de
l’intérieur, mais les dirigeants Bolcheviques du soviet se rallièrent à un
homme dans ce projet insensé (Editeur : guidé par les Rothschild par
l’intermédiaire du Général Allemand Ludendorff. C’est le même scénario que lors
du coup d’état du BND-CIA à Kiev en 2014). La demande Ukrainienne fut
satisfaite. Presqu’aussitôt, l’Etat-Major Allemand commença à transférer des
divisions du front oriental en France. Le rouleau compresseur
Russe avait été réduit en pièces.
C’est ainsi que l’histoire se répète en Ukraine. Nous avons souligné ailleurs que les Etats-Unis n’auraient jamais dû s’impliquer dans la Première et la Deuxième Guerre Mondiale et que l’histoire ci-dessus prouve que les instincts de Donald Trump ont été justes dans son désir de détente avec la Russie qui a été la source de frictions avec les services de renseignement.
C’est ainsi que l’histoire se répète en Ukraine. Nous avons souligné ailleurs que les Etats-Unis n’auraient jamais dû s’impliquer dans la Première et la Deuxième Guerre Mondiale et que l’histoire ci-dessus prouve que les instincts de Donald Trump ont été justes dans son désir de détente avec la Russie qui a été la source de frictions avec les services de renseignement.
Voyons combien cette corruption de la Russie
d’avant la Guerre Mondiale est proche de notre temps juste avant la Première
Guerre Mondiale en citant à nouveau l’Archiduc Alexandre :
« Les cent jours de paix en Russie avant la
Première Guerre Mondiale étaient riches de jeu, de crimes sensationnels, et
d’une épidémie significative de suicides (épidémie d’opioïdes). Cette année-là
on dansait le tango. Le langoureux tempo de cette musique exotique remplissait
l’air d’une extrémité de la Russie à l’autre. Les tsiganes pleuraient, les
verres s’entrechoquaient, et les violonistes Roumains, habillés de rouge,
hypnotisaient les hommes et les femmes enivrés dans une tentative osée
d’explorer les profondeurs du vice. L’hystérie régnait en maître … et les orgies
débridées.
Toutes les catégories de vices concevables
défilaient devant les jurys des procès criminels à sensation de l’époque, qui
étaient relatés par les journaux pour l’édification de la jeunesse (les
auditions inédites des vices de l’affaire Monica Lewinsky-Bill Clinton devant
le Congrès) … Saint Pétersbourg refusait d’être devancée par Moscou en
termes « d’orgies » (New York et Washington en compétition pour voir
laquelle pouvait être la plus malfaisante).
Tout cela était encouragé par les folies
hystériques du marché boursier sur les marchés financiers manipulés directement
par le Baron Edouard dans sa tentative de détruire le Tsar (Les Années Folles
d’avant 1929 ou la dépravation généralisée de l’Amérique d’aujourd’hui
caractérisée par le mariage sodomite et le financement de dix milliards
d’avortements dans le monde si vous y ajoutez l’holocauste de la pilule du
lendemain).
« Ils pratiquaient un système connu en Russie
comme « Américain » mais qui avait un autre nom dans les milieux
financiers des Etats-Unis. Ils ne faisaient pas de miracles. Ils ne faisaient
montre d’aucun génie exceptionnel. l’accumulation de leurs richesses se faisait
par l’extrême laxisme des lois bancaires Russes (2008 et 1987 en Amérique), qui
permettaient aux directeurs des institutions d’épargne d’exercer un contrôle
illimité sur les choix des obligations achetées avec les fonds des
dépositaires. (L’effet de levier était de 15% étant donné que les actifs
étaient empilés en pyramide. Les marchés succombèrent à la manie spéculative).
Les fusions se succédaient à toute allure. A la fin d’une courte période,
l’administration virtuelle de l’essentiel du capital Russe passa entre les
mains de trois individus. On peut facilement en imaginer les conséquences (Bain
Capital, Goldman Sachs, Morgan Stanley, etc.).
Un propriétaire d’usine refusant de vendre son
usine au « trust » courait le risque de se voir privé de crédit. La
concurrence commerciale devint un concept du passé (Standard Oil, US Steel
combinés sous J.P. Morgan et les Rothschild pour abolir la concurrence comme
Microsoft a détruit Netscape). Les salaires variaient en fonction des besoins
du marché boursier (salaire équitable ?). Lorsqu’il fallait améliorer le
compte de résultat, on baissait les salaires. Le Ministre des Finances se
tenait prudemment sur la touche en espérant qu’il serait récompensé par une
présidence de banque (nos membres corrompus du Comité du Marché Libre de la
Réserve Fédérale sont dans l’attente d’une récompense similaire de Wall Street
après avoir répondu aux vœux des grandes institutions financières, en accédant à
des postes à haut-salaire et autres avantages. Ils concourent en termes de
corruption avec la Cour Suprême et le Congrès).
Ce qui est le plus intéressant, c’est que ces
pirates de la finance aient financé les Bolcheviques sur ordre du Baron Edouard
de Rothschild. Les journaux des Rothschild attaquaient le Tsar mais se
montraient curieusement silencieux concernant ces escroqueries (comme en 2008
et 1987). « Ces escrocs nouveaux-riches (Michael Milken) finançaient le
Bolchevique Maxime Gorky par un prêt de plusieurs millions de roubles de la
Banque de Sibérie, pour fonder le journal « La Nouvelle Vie » et le
mensuel « Les Annales ». Les deux publications comptaient Lénine comme
principal collaborateur ». « Rien ne paraît plus étrange que le désir de
la part du « trust » de maintenir les feux du brasier de la
révolution. (Pas étonnant du tout si cet individu, le Grand-Duc Alexandre dans
son livre « J’étais un Grand-Duc », extrait du chapitre intitulé
« La Veille », avait seulement compris que la destruction de la
Russie était soigneusement planifiée par le Baron Edouard de Rothschild. Il en
est allé de même en 1991 pour le
Poutine n’a pas le courage d’évincer Elvira
Nabioullina de la Banque Centrale qui est contrôlée par l’Occident et ruinait
l’économie Russe comme Powell essayait de ruiner l’économie Américaine sous
Trump. Ni le courage moral de mettre fin à l’avortement ou comme Staline
d’enseigner dans les écoles aux enfants de ne pas commettre l’onanisme comme
décrit précédemment. Staline a trouvé une Russie si pervertie que 98% des
filles pratiquaient l’onanisme en solitaire selon ce que les médecins Russes
ont raconté au Dr. J.H. Kellogg qui était le médecin préféré d’Henry Ford.
Staline enseignait dans toutes les écoles Russes que l’acte conjugal était réservé
à la procréation dans le mariage comme l’enseignait Saint Augustin dans son
« Sur les bienfaits du mariage », et donc était interdit durant la
menstruation, l’allaitement ou la grossesse. La masturbation et
l’onanisme étaient interdits.
Le Gouvernement refusa d’abord de croire les
informateurs de la Police Secrète, mais il était absurde de discuter les faits.
Une descente au domicile de Nicolas Paramonoff, un des hommes les plus riches
de Russie, révéla des documents établissant sa participation à un groupe de
multimillionnaires qui finançaient l’impression et la distribution de pamphlets
Bolcheviques dans tout le pays ».
Et ceci termine la citation. C’est ainsi que
l’histoire se répète en Ukraine. Nous avons souligné ailleurs que les
Etats-Unis n’auraient jamais dû être impliqués dans les deux Guerres Mondiales
et que l’histoire ci-dessus prouve que les instincts de Donald Trump ont été
justes dans son désir de détente avec la Russie qui a été la source de
frictions avec ses services de renseignement.
Le Président Trump est contraint par le « système » qui ne lui a pas permis de procéder à la réduction de notre déficit commercial, la détente avec la Russie, le mur contre l’immigration, ou les manipulations de devises afin qu’ils puissent se débarrasser de lui comme d’un perdant en 2020. Le Président du Conseil de la Réserve Fédérale avait même eu l’impudence d’augmenter les taux d’intérêt au cours de l’effondrement du marché boursier, ce qui augmente la valeur du dollar en accroissant le déficit commercial afin de saboter la dernière élection législative pour que Trump soit perdant*.
Le Président Trump est contraint par le « système » qui ne lui a pas permis de procéder à la réduction de notre déficit commercial, la détente avec la Russie, le mur contre l’immigration, ou les manipulations de devises afin qu’ils puissent se débarrasser de lui comme d’un perdant en 2020. Le Président du Conseil de la Réserve Fédérale avait même eu l’impudence d’augmenter les taux d’intérêt au cours de l’effondrement du marché boursier, ce qui augmente la valeur du dollar en accroissant le déficit commercial afin de saboter la dernière élection législative pour que Trump soit perdant*.
*La partie
en rouge est dépassée, Trump ayant entre-temps inversé toutes les tendances
prévues par « le système ». NdT
La conclusion.
Il est notable que les oligarques en Russie et en Ukraine
soient les mêmes traîtres à la Russie que Trotsky, Zinoviev, Kamenev, et
aujourd’hui Abramovitch, Vekselburg, etc. Ce sont les nouveaux éléments
Bolcheviques Yevraskaya ou Yevsek, qui en réfèrent dans ce cas au Baron Jacob
Rothschild au lieu du Baron Edouard de Rothschild, qui ont financé le pillage
et la spoliation de la Russie qui se poursuit. Les loups ont juste troqué la
peau de mouton contre un nouveau vêtement. Ce sont les mêmes loups de Wall
Street qui sont similaires aux oligarques Trotskystes qui ont pillé les
Etats-Unis en manipulant les marchés et ont ensuite utilisé ce pouvoir pour
détruire moralement et promouvoir la sodomie et l’avortement. Cela peut être
consulté dans des articles additionnels où leurs manipulations sont décrites en
détail.
Traduction
de Patrick T.
https://operationdisclosure1.blogspot.com/2020/07/black-lives-matters-is-bolshevik.html
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Pourquoi ce qui se passe à Portland (Oregon, USA) est important
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Pourquoi ce qui se passe à Portland (Oregon, USA) est important
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