+19/07 - LA
“PANDÉMIE DU CORONAVIRUS”,
UNE OPÉRATION MONDIALISTE
AU SERVICE D’OBJECTIFS
MACABRES !
Pourquoi les forces de l'ordre ne portent pas de
masques dans les manifestations et ailleurs ? Cet article est celui que le site des
Gendarmes "Profession Gendarme" diffuse pour les informer d'une
certaine réalité pour laquelle ils travaillent !
Coronavirus : les clés pour reconnaître une opération
mondialiste !
La crise du coronavirus est une conception
trompeuse avec un programme macabre.
Elle inaugure le totalitarisme sanitaire, avec des
restrictions des libertés fondamentales, la promotion de la peur d’autrui et
des projets de vaccination forcée. Et elle ouvre la porte à une remise à
zéro du système financier mondial agonisant (Le Reset !). Le coronavirus est
une opération mondialiste d’une ampleur sans précédent. Son programme
central semble être l’imposition massive de restrictions aux libertés
fondamentales (droit de réunion, de manifestation de masse, de libre
circulation et d’expression), la promotion de la peur d’autrui (notions de
"distance sociale") et des projets de programmes de vaccination
forcée. En outre, l’effondrement induit de l’économie mondiale permettra
de remettre sur pied le système financier mourant, et induira la ruine des
secteurs moyens et inférieurs de l’économie mondiale. Elle prépare aussi
le terrain pour l’acceptation de "mesures extraordinaires". Ces
concepts sont familiers au projet mondialiste, une ré-ingénierie du monde menée
par une élite de puissances supranationales qui vise à créer un gouvernement
mondial. Avec une formidable offensive de communication, presque tous les
secteurs tombent sous le charme d’une crise artificielle qui remodèle les
valeurs fondamentales de la coexistence sociale qui ont gouverné pendant des
siècles. Le programme mondialiste – qui prévoit, entre autres,
l’affaiblissement des États-nations pour les remplacer par des formes de
gouvernance supranationale, un contrôle totalitaire de la vie des gens et un
processus massif de réduction de la population – utilise des événements
catalyseurs qui modèlent les changements profonds de la société planétaire. La
"pandémie" du coronavirus est l’une d’entre elles, et sa conception
délibérée est en vue. Chaque événement catalyseur – opérations et
planification très complexes – a de multiples objectifs et utilisations.
Dans cet article nous verrons quelques
indices.
L’OMS et l’approche unique de la santé !
L’opération commence avec les alarmes émises par
l’un des centres mondialistes : l’Organisation Mondiale de la Santé.
Le grand public a la fausse impression que l’OMS
est neutre, aseptisée et non contaminée par les problèmes communs de la nature
humaine. L’OMS est largement perçue comme un organisme scientifique qui se
consacre à la promotion de la santé sous toutes ses formes possibles, serait
comme une référence clé lorsqu’il s’agit de prendre des décisions en matière de
santé. Cependant, comme il ne pourrait en être autrement, l’OMS reflète les
équilibres politiques du monde et accueille
des lobbies d’intérêts différents. En général, il y a une prédominance
de ceux qui sont associés aux entreprises pharmaceutiques qui défendent une
vision unidimensionnelle de la santé : la lutte contre les virus, les parasites
et les bactéries, qui seraient à l’origine des maladies, et cette lutte doit
être menée sur la base de médicaments, de vaccins et de traitements
spécialisés. Il s’agit de trouver le "remède miracle" pour chaque
pathologie. Cela est extrêmement utile
pour éviter que les gens prennent soins d’eux-même et, en retour, cela permet
de donner du pouvoir à la corporation médicale et aux comités
"d’experts".
Mais personne n’a prouvé que ce paradigme – aveugle
et boiteux à bien des égards – est le plus sûr, ni le plus efficace. En fait, l’iatrogénie ( décès du patient à
la suite d’un traitement médical ) est la troisième cause de décès aux
États-Unis.
Du point de vue d’une approche globale et
multidimensionnelle de la santé – bien plus complète que juste la somme des
connaissances humaines actuelles – l’alerte internationale promue par l’OMS est
très lucrative pour les entreprises pharmaceutiques, mais elle est négative
pour la santé des populations.
Un hypothétique événement futur comme outil de
chantage !
La
"pandémie" du coronavirus est littéralement une
"invention", comme l’a défini le philosophe italien Giorgio Agamben.
« Il
semblerait que, le terrorisme étant épuisé comme cause de mesures d’exception,
l’invention d’une épidémie puisse offrir le prétexte idéal pour étendre (les
mesures d’exception) au-delà de toutes les limites
Elle commence par un événement futur
hypothétique.
L’OMS avertit les gouvernements que si des mesures
de prévention extraordinaires ne sont pas prises, une crise sanitaire sans
précédent pourrait se
déclencher. Des milliers de documents et d’articles "d’experts"
dressent alors des tableaux statistiques qui sèment la panique : il pourrait y
avoir des millions de morts et les systèmes de santé s’effondreront. Cette
stratégie est couramment utilisée dans les opérations mondialistes. Des
alertes sont lancées autour des "menaces", les informations provenant
des spéculations des hauts dirigeants, impossibles à comparer, et donc à
réfuter. Les arguments sont immobilisés et le débat est placé sous le
signe des émotions. Qui rassemblera suffisamment d’éléments pour nier
qu’un hypothétique événement futur ne puisse PAS se produire ? Et même si
nous étions certains que le mauvais présage ne se réalisera pas, il est
difficile d’éviter le doute angoissant : "Et si je me trompe et que cela
arrive ?" Les prévisions catastrophiques, dans ce cas, ont une conséquence
logique évidente : si des millions de morts ne surviennent pas – comme cela
s’est produit pour toutes les "pandémies" de ce siècle déclarées par
l’OMS – nous devrons remercier l’opération de prévention massive. Jusqu’à
présent, rien d’extraordinaire n’est arrivé. Bien que de nombreux hôpitaux
risquent d’êtres submergés, par le simple effet d’une prophétie qui se réalise
d’elle-même : si nous parlons tout le
temps des risques sanitaires, davantage de personnes se sentiront malades.
Empoisonnement
des médias : décompte quotidien, statistiques en temps réel !
L’OMS n’explique pas pourquoi une épidémie d’une
souche de grippe commune est plus dangereuse que 300 autres souches de virus
similaires, ni pourquoi nous devons cette année compter les décès en temps
réel, alors que chaque année il y a entre 250.000 et 650.000 décès dus à la
grippe saisonnière dans le monde, un chiffre dont la "pandémie"
actuelle n’atteint même pas les 5%. Cette position a été mise en avant par le
virologiste argentin Pablo Goldschmidt, ou sous-secrétaire à la santé du
Mexique. Personne ne l’a réfuté, mais il a été disqualifié et ridiculisé. Le
taux de mortalité du nouveau coronavirus ne justifie pas non plus de
s’alarmer.
Revoir Peter Koenig
: "L’OMS a déclaré le coronavirus COVID-19 comme étant une
"pandémie", alors qu’il n’y a pas le moindre signe de pandémie. Une
pandémie pourrait être la condition, lorsque le taux de mortalité par infection
atteint plus de 12 %. En Europe, le taux de mortalité est d’environ 0,4 %
ou moins. Sauf pour l’Italie, qui est un cas particulier, où le taux de
mortalité le plus élevé a été de 6 %.
Fausse
statistique ayant pour but de créer une condition propice à arrêter des pédophiles.
En Chine, où le taux de mortalité a culminé il y a
quelques semaines à environ 3 %, il est revenu à 0,7 %, et il diminue
rapidement." La panique et la perception de la "catastrophe
sanitaire" se fondent sur une opération trompeuse des médias et des
autorités : le décompte quotidien des malades et des morts, ville par ville,
pays par pays. Afin d’assurer un suivi honnête de la progression de la
"pandémie", il convient d’inclure une comparaison parallèle sur la
situation d’autres maladies : crises cardiaques, diabète sucré, dengue ou
autres pathologies. Si l’on compare ces chiffres, alors que le
"nouveau coronavirus" ne se rapproche même pas des victimes du rhume
et de la grippe ordinaires, la question logique que peu de gens se posent
aujourd’hui se ferait jour naturellement : pourquoi tous les efforts sont-ils
dirigés vers le coronavirus ? Pourquoi semble-t-il être la seule variable
de santé qui importe ? Un autre biais important dans les données médicales
consiste à attribuer chaque décès d’un porteur, sans plus, au coronavirus,
alors qu’un pourcentage très élevé des décès ont également des maladies
préexistantes. Combien de décès sont attribuables au coronavirus comme
seul facteur ? Jusqu’à présent, la "pandémie" a beaucoup moins
d’impact que n’importe quelle grippe saisonnière. Sommes-nous préparés à
quelque chose de pire ?
La menace cachée : le déversement d’un contaminant
mondial !
Le 25 janvier 2020, avec des manifestations dans
plus de 195 villes de 32 pays, la première journée mondiale de protestation
contre la technologie 5G a eu lieu. Les citoyens demandaient l’arrêt de la
mise en œuvre à grande échelle des technologies 5G pour des raisons
scientifiques, en raison notamment de leur impact potentiel sur la santé, la
faune et l’environnement. Dans ce contexte, on a beaucoup spéculé sur le fait
que le lancement de la 5G à Wuhan (la première "ville intelligente"
de Chine) serait le déclencheur de l’épidémie, et expliquerait pourquoi l’Italie
(l’un des champions de la 5G en Europe) est un autre épicentre. Les médias
traditionnels, profitant de l’ignorance massive sur le sujet, ont rapidement
tourné cette hypothèse en ridicule. Toutefois, les preuves des dommages causés
aux systèmes biologiques par les transmissions sans fil sont accablantes et
sont reprises dans le rapport en temps réel du groupe Bioinitiative, ainsi que dans des
déclarations telles que la
Déclaration de Fribourg, l’Appel international 2015 et la
campagne Stop5G. Ces
documents, soutenus par d’éminents scientifiques et des milliers de personnes,
prévoient de nouvelles perturbations à la santé publique lorsque la cinquième
génération du réseau pour téléphones portables sera déployé sur terre et dans
l’espace. Bien que le négationnisme officiel dise le contraire, les champs
électromagnétiques interagissent avec des éléments physico-chimiques, avec le
potentiel de déclencher des troubles de la santé et du comportement. Le Dr Thomas Cowan a synthétisé dans une
présentation de 10 minutes, pourquoi, depuis l’épidémie de grippe espagnole de
1918 au coronavirus, chaque nouvelle couche d’électrification de la terre a
entraîné une vague de nouvelles maladies. Il y avait eu la vaccination des soldats qui avait affaibli leurs
défenses immunitaires, ils faisaient partie des nombreux morts.
Le récit du coronavirus, dans cette perspective,
serait un écran de fumée, un bouc émissaire élaboré pour "expliquer"
cette épidémie et les suivantes qui auraient lieu dans un avenir proche. Dans
cette ligne, le Dr Dietrich Klinghardt, fondateur du Sophia Health Institute et
autorité mondiale sur les champs électromagnétiques et la santé, décrit
comment le taux de mortalité par coronavirus (situé entre 0,5 et 2%) atteint
60% à l’hôpital EvergreenHealth de Kirkland de Washington. Le
chercheur spécule sur une possible interaction du 5G avec le virus. Kirkland
est l’une des cinq villes du pays "solidement connectées" à la 5G, et
EvergreenHealth est le seul hôpital du pays connecté et transmettant en 5G. Si
la 5G est liée à la crise actuelle, ce que nous verrons dans les prochains mois
sera une succession d’épidémies au fur et à mesure que le nouveau réseau sera
déployé dans différentes parties du monde. Le "coronavirus" (ou
d’autres souches) sera recyclé comme explication récurrente. Le mondialisme
enterre ce débat par un blocus médiatique féroce, car l’une de ses matrices
fondatrices est la capture des populations au sein du réseau de contrôle social
massif qu’impliquent les technologies sans fil. C’est pourquoi la 5G est
plutôt présentée comme un grand outil pour la crise sanitaire : un autre signe
de la conception mondialiste. L’enfermement massif devient un prétexte
pour canaliser toute activité sociale (cours, réunions, travail) vers
l’Internet. L’accélération
du déploiement de la 5G est présentée comme un moyen de satisfaire la
"demande accrue de travail à distance", et les robots 5G sont
présentés comme des aides providentielles dans la crise hospitalière.
Totalitarisme de la santé, distance sociale et peur
du contact !
Le récit de la "protection de la santé" a
un impact sur les discours de droite comme de gauche, créant une atmosphère
"d’unanimité face au danger". Le discours des médias de presque
toutes les orientations politiques propose une obéissance aveugle à la
stratégie globale d’emprisonnement massif et de paralysie de l’économie. Les
insoumis qui se rebellent contre le mandat d’isolement et de quarantaine sont
punis d’une peine d’emprisonnement ou d’une amende. Un faux bon sens
s’installe selon lequel la violation des dispositions du nouveau totalitarisme
de la santé est une attaque contre d’autres personnes. Derrière ce concept se cache l’idée que
chaque personne est en soi un danger pour les autres. La notion de
"distance sociale" émerge, qui est typique des "bonnes manières
en matière de santé" : éviter les réunions de plus de 10 personnes, ne pas
se serrer la main, et essayer de rester à au moins un mètre des autres. Cette
perspective "isolationniste" de la santé est totalement non
scientifique si elle néglige l’impact émotionnel qu’elle implique.
Antonio
Damasio montre que tout comme les états de joie sont sains, les états de
tristesse et de peur provoquent un déséquilibre fonctionnel. À l’heure actuelle, il semble peu important de
savoir si l’isolement et l’inactivité entraînent une augmentation de la
dépression ou de l’obésité, ou si la peur induite et l’endettement généralisé
augmentent le taux de suicide.
Pourquoi ces préjudices potentiels pour la santé
publique ne sont-ils pas pris en compte dans "l’opération de
prévention" ?
Le
toucher n’est pas seulement un stimulus agréable : c’est une nécessité
biologique. Philippe K. Davis dans son livre "The Power of Touch. Le contact physique dans les relations
humaines" résume que la stimulation de la peau est l’un des 10 besoins
fondamentaux de l’être humain, et vital pour les personnes âgées et les
malades. Il y a environ 70 ans, la vision du Dr Emmerth
Holt sur l’éducation des enfants est devenue une doctrine
officielle aux États-Unis. Il a recommandé de ne pas bercer les bébés et
de ne pas les tenir quand ils pleurent. Lorsque la doctrine Holt a été
appliquée massivement, la mortalité infantile des enfants de moins d’un an
élevés dans des orphelinats atteignait 50 %. Encourager la peur du contact et
la proximité avec les autres est un autre signe de l’empreinte mondialiste de
cette "crise sanitaire". C’est une attitude qui est
fonctionnelle à l’érosion de l’empathie et des réseaux affectifs, et à la
promotion d’une société tournée vers un modèle de "payer pour être
touché" (massages, sexe, autres
services payants) qui remplace le contact naturel de l’amour conjugal, familial
et communautaire. Les projets législatifs visant à interdire les réunions de
plus de 25 personnes vont dans le même sens : une atteinte à la convivialité, à
la vie sociale et communautaire, qui deviendra une "hérésie
irresponsable" dans un monde de personnes confinées par la loi dans leur
foyer individuel.
Mémoires de l’avenir : ce que les auteurs du
montage prévoient !
Un mois avant l’épidémie de Wuhan en octobre 2019,
un groupe d’organisations mondialistes a organisé un exercice de simulation de
confinement d’une pandémie : "Event
201″. Un exercice de pandémie mondiale". À New York, un
groupe "d’experts" réuni par l’université John Hopkins, la Fondation
Bill et Melinda Gates, le Forum de la Banque mondiale et d’autres "groupes
de réflexion" a débattu de la question de savoir si l’humanité est prête à
contenir les effets de la propagation incontrôlée d’une maladie.
"Quel était le nom, dans le récit fictif de
l’exercice, de l’agent pathogène mortel qui a déclenché une crise avec des
millions de morts ?"
Réponse : Coronavirus.
Ce n’est peut-être pas une coïncidence.
Les cerveaux mondialistes aiment anticiper
publiquement, en code, certaines opérations de grande envergure. L’événement
201 n’est pas le seul signe avant-coureur : un document de la CIA datant de
2015 prévoit une pandémie originaire de Chine, parmi les "populations en
contact avec les animaux", d’ici 2025. Le coronavirus est également
mentionné. Selon les experts réunis dans le cadre de l’événement 201, que
peut-il se passer dans le monde ? Quelles mesures seraient nécessaires
dans ce scénario ?
Les scénarios de l’élite contiennent toujours des
graines d’avenir : La fermeture des frontières est à l’origine de 45 % des
annulations de vols.
Les pays qui vivent du tourisme sont durement
touchés. Les marchés boursiers chutent de 40 %. Le PIB mondial est
réduit de 11 %. Les établissements de crédit n’accordent plus de prêts et
les conséquences de la crise se prolongent pendant une décennie. Tout
semble ouvrir la porte à une remise à zéro du système financier. La
"désinformation" sur Internet provoque la panique. La réduction
des services et le contrôle des réseaux sociaux et des médias traditionnels
deviennent nécessaires. Un protocole de communication est établi. Les
théories de conspiration et les "faux messages" sont supprimés dans
les réseaux. Exemple : "Les agents de santé en Afrique sont des
agents de stérilisation" ou "Ils ont propagé le virus pour
s’approprier nos ressources naturelles".
Après une période où la pandémie semble décliner,
elle se propage dans les villes de manière explosive. 61 millions de
personnes meurent au cours des 18 premiers mois.
Des soulèvements populaires se produisent et la loi
martiale est nécessaire pour contrôler la situation. L’épidémie ne cède pas en
raison de son cycle naturel, ni de la capacité des organismes à se
défendre. La crise ne semble jamais se résorber, à moins que des vaccins
ne soient mis au point. Tous les efforts médicaux sont dirigés dans cette
direction.
La loi martiale et la vaccination forcée en vue !
En résumé : l’exercice suggère que la situation
sera si grave qu’il sera nécessaire de suspendre les libertés et garanties
constitutionnelles et, bien sûr, d’introduire la vaccination forcée. Les
programmes sont prêts : ID2020 est une
alliance de partenaires public-privé, dont des agences des Nations unies. Il
s’agit d’un programme d’identification électronique qui utilise la vaccination
à grande échelle comme plate-forme pour l’identité numérique. La GAVI, l’Alliance mondiale pour les
vaccins et la vaccination, est présentée sur son site web comme un partenariat
mondial d’organisations de santé des secteurs public et privé qui se consacrent
à la "vaccination pour tous". GAVI est soutenu par l’OMS. Ses
principaux partenaires et sponsors sont l’industrie pharmaceutique.
Pourquoi voudraient-ils nous vacciner à l’échelle
mondiale ? Voilà qui constitue une véritable menace pour la santé.
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