31/07 - FOLIE : LE JAPON AUTORISE
LA CRÉATION D’EMBRYONS HUMAINS-ANIMAUX.
Les Peuples laissent passer des lois de plus en plus contre nature, ce faisant ils autorisent la Cabale à continuer leurs manipulations de l'humain comme certains extraterrestres le font dans les villes souterraines depuis pas mal de temps, que l'Alliance est en train de détruire.
Le Japon vient de donner
son feu vert pour la création d’embryons hybrides
homme-animal, rapporte la revue Nature. À terme, les
scientifiques souhaitent cultiver dans des animaux des organes humains aptes à
la transplantation. Des recherches qui soulèvent de nombreuses questions
éthiques et techniques.
Dans les années 1920, le
savant soviétique Ilia Ivanov avait tenté de créer un hybride de singe et
d’humain. C’était répugnant, mais heureusement les règles d’éthique ont évolué.
Quoique... Le Japon autorise depuis le mois de mars la création d’embryons animaux-humains,
pourvu que ces hybrides soient détruits au bout de 14 jours. Mais cette
limitation a été levée récemment. C’est pour ça qu’aujourd’hui scientifique
Hiromitsu Nakauchi développe des embryons d’animaux où sont implantées des
cellules humaines. L’idée est de cultiver ces cellules, puis de les greffer
dans des embryons de souris et de rat, et enfin de les transplanter dans des
animaux de substitution, pour les y stocker.
https://www.youtube.com/watch?v=_JLqPWc7Kew
Face à la pénurie mondiale
de donneurs d’organes, les scientifiques cherchent des alternatives pour sauver
les milliers de patients sur liste d’attente. En France, ils représentaient 24
791 personnes en 2018, contre 5 804 greffés la même année. Si certains
chercheurs imaginent pouvoir imprimer un jour des organes en 3D, d’autres
aspirent à les faire grandir dans des embryons chimères humains-animaux, soit
des organismes contenant des cellules souches humaines et animales. Un
processus qui soulève de nombreuses problématiques d’ordre éthique. Dans
l’Hexagone, le procédé est d’ailleurs interdit par la loi bioéthique de 2011.
Au Japon,
la création d’embryons chimères est autorisée depuis mars 2019, à la
seule condition qu’ils soient détruits après 14 jours de développement in
vitro. L’autorisation ne s’étendait donc alors qu’à l’expérimentation
exclusive autour des embryons. Au-delà, le risque de brouiller la
frontière homme-animal inquiète les autorités… Une prise de position
remise en question au bout de quelques mois seulement. Selon la revue
«Nature», Hiromitsu Nakauchi, docteur spécialiste des cellules
souches à l’Université de Tokyo et de Stanford, a
obtenu l’autorisation de la part d’un comité d’experts du ministère
japonais des Sciences pour approfondir ses recherches. Il s’apprête à
cultiver des cellules humaines dans des embryons de souris et de rats. Son
objectif sur le long terme est d’utiliser des animaux hybrides en tant que
banque d’organes pour les patients en attente de greffe.
[…]
Les hybrides ne seront
cultivés qu’une quinzaine de jours, avant que leurs organes ne commencent à se
former. Si l’expérience est concluante, les équipes demanderont l’approbation
du gouvernement pour réitérer l’expérience sur des embryons hybrides de
porcs, qu’ils cultiveront pendant 70 jours.
«Il est bon de procéder par
étapes avec prudence, ce qui permettra de dialoguer avec le public, qui se sent
anxieux et préoccupé par ces thématiques», a déclaré dans la revue Nature
Tetsuya Ishii, chercheur en Sciences politiques à l’université d’Hokkaido à
Sapporo
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