23/12 - APRÈS LE PACTE MONDIAL SUR LES MIGRATIONS,
VOICI LE PACTE MONDIAL SUR LES RÉFUGIÉS.
Le mouvement des GJ a été lancé par notre gouvernement voyou et devait cacher la signature de ces pactes, mais nos ennemis ne croyaient pas que le peuple en profiterait pour se soulever et ne plus décolérer jusqu'à la victoire.
Son
adoption à l’ONU le 17 décembre dernier est quasiment passé inaperçue. Pourtant
le Pacte Mondial sur les réfugiés est un autre cheval de Troie de la
mondialisation : parmi les mesures édictées, il prévoit en effet le
transfert des réfugiés en des pays pauvres vers les pays plus riches,
c’est-à-dire l’Europe et les États-Unis. Trump avait raison de se protéger, il a été traité de raciste.
L’Assemblée
générale de l’ONU a donc adopté lundi à une très grande majorité, mais sans les
États-Unis et la Hongrie, ce Pacte mondial sur les réfugiés visant à améliorer
leur gestion internationale et à permettre “de renforcer l’assistance et
la protection des 25 millions de réfugiés recensés dans le monde”.
Ce
texte a quatre objectifs principaux : alléger les pressions exercées sur les
pays d’accueil, accroître l’autonomie des réfugiés, élargir l’accès à des
solutions faisant appel à des pays tiers et aider à créer dans les pays
d’origine les conditions nécessaires au retour des réfugiés dans la sécurité et
la dignité.
Contrairement au document sur les migrants, les États-Unis ont
participé aux négociations sur celui sur les réfugiés qui ont duré dix-huit
mois.
Comme
pour le Pacte
Mondial sur les migrations, celui sur les réfugiés découle d’une
Déclaration de New York, fortement voulue par le président des États-Unis de
l’époque, Barack Obama. Votée le 19 septembre 2016 par les 193 membres de
l’ONU, cette déclaration visait à améliorer leur aptitude à « avoir une
attitude plus humaine et coordonnée envers les réfugiés et les migrants »
dans le but de « sauver des vies, protéger des droits et partager la
responsabilité au niveau mondial ».
Depuis lors, les pays représentés à
l’ONU se sont engagés à créer « une structure mondiale pour que
l’émigration, comme les autre phénomènes internationaux, soit guidée par un
système commun de principes et d’approches », l’aboutissement de ces
réflexions étant donc le Pacte Mondial sur les migrations ; et à formuler
un Pacte mondial sur les réfugiés pour consentir à arriver à « une
répartition plus équitable du fardeau et de la responsabilité d’accueillir et
de soutenir les réfugiés », 85 % de ces réfugiés vivant dans des
pays pauvres. Pourtant depuis 1951 le statut et les droits des réfugiés sont
bien réglés par la Convention internationale de Genève. Le but de la
manœuvre paraît bien être la répartition des réfugiés dans les pays
occidentaux.
Car
ce que l’ONU et l’Unhcr (le Haut Commissariat des Nations unies pour les
réfugiés), les artisans de ce nouveau pacte, semblent ignorer, peut-être
occultent savamment, c’est la provenance des fonds grâce auxquels il est
possible d’aider ces 20 millions de réfugiés, effectivement
concentrés en des pays pauvres non parce que ces derniers sont plus
généreux et charitables mais parce qu’ils sont frontaliers des États en crise.
86% des fonds dont disposent l’Unhcr, la majorité des agences onusiennes et de
tant d’Ong, proviennent des États-Unis, de l’Union Européenne et d’États
européens.
Ainsi
ce Pacte Mondial sur les réfugiés entend alléger la pression sur les pays hôtes
en augmentant les contributions financières qui leur sont allouées mais aussi
et surtout en promouvant le transfert des réfugiés vers d’autres États sur
laquelle la pression est mineure, entendons par là ceux européens et du nord de
l’Amérique.
Tandis
que le Pacte Mondial sur les Migrations affirme le droit absolu à émigrer, le
Pacte Mondial sur les réfugiés, en falsifiant les faits, essaye de faire
peser sur l’Occident la charge physique des réfugiés. Ces deux pactes sont les
deux pinces de la tenaille du mondialisme qui s’efforce de pulvériser les
nations, d’anéantir les identités et de détruire ce qui reste de la grande
civilisation millénaire chrétienne et européenne.
Francesca de Villasmundo
sur MediaPresseInfo
Ils ont ruiné les pays du sud, puis envoient cette misère envahir les pays du nord. Le Plan est prévu de longue date.
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