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- «ARRÊTEZ L’IMPLANTATION FORCÉE D’IMMIGRÉS
DANS LES COMMUNES BRETONNES !»
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AVANT - APRES |
Par Gilles Pennelle (Rassemblement National). Ils ont raison depuis bien longtemps :
Les implantations forcées d’immigrés, entrés
clandestinement en France, dans les communes bretonnes font réagir une partie
de la population, comme à Arzano récemment.
Gilles Pennelle, qui préside le Rassemblement
national à la Région Bretagne, vient d’ailleurs d’adresser une lettre ouverte
à Christophe Mirmand, Préfet de Bretagne, à ce sujet.
Nous la reproduisons ci-dessous :
Depuis des mois, les annonces d’ouverture de centres
d’accueil pour migrants se multiplient en Bretagne. Les exemples récents
d’Arzano dans le Finistère et d’Allaire dans le Morbihan illustrent
parfaitement cette politique. Pour les habitants des communes concernées, c’est
une source d’inquiétudes et une injustice.
Les pouvoirs publics ne trouvent plus d’argent pour
la Police, pour maintenir nos casernes de Gendarmerie dans la ruralité, pour
nos EHPAD, pour nos hôpitaux et pour revaloriser les pensions de retraites. Il apparaît
donc scandaleux d’offrir des logements que bien des Français ne peuvent pas
s’offrir, un encadrement pléthorique et des avantages sociaux considérables à
des immigrés entrés clandestinement en France. La colère légitime de la
population contre cette préférence étrangère ne cesse de monter.
Monsieur le Préfet, pour toutes ces raisons, je vous
demande solennellement, au nom du groupe des élus Rassemblement National au
Conseil régional de Bretagne, d’entendre le mécontentement de la population et
de mettre fin à cette politique d’installation forcée d’immigrés dans nos
communes bretonnes.
Dans l’attente de votre réponse, Je vous prie de
croire, Monsieur le Préfet, en mes salutations respectueuses.
Nantes. Arrivée de migrants dans le quartier Saint
Donatien : les riverains se rebiffent
Après avoir été envoyée sur les roses par la plupart
des municipalités – y compris de gauche – du département, Johanna Rolland,
maire socialiste de Nantes, se résout à caser à Nantes les migrants qu’elle a « mis
à l’abri » aux frais du contribuable – soit quatre
millions d’euros payés par les Nantais.
Près de 88 migrants ont déjà été transférés dans l’ancien
foyer-logement du Clos Toreauoù ils disent se sentir comme chez
eux. Et pour cause, le quartier multiethnique abrite déjà une
forte minorité de population d’origine africaine. Soixante-deux autres
personnes sont mises dans
un immeuble de Harmonie Habitat à Saint-Herblain qui devrait être détruit en
mars 2019. Les gymnases seront bien occupés jusqu’à
fin octobre comme nous l’avons annoncé. Et personne à la mairie de Nantes ne
dit rien sur l’avenir de ces migrants après le mois de mars…
Mais pour libérer les gymnases – la pression des associations
et des clubs se fait forte et les élections ne sont plus très loin – c’est le
quartier résidentiel de Saint Donatien qui va subir la plus grande
charge : 179 migrants arrivent dans le bâtiment B19 de l’ancienne caserne
Mellinet et 70 seront hébergés dans l’ancienne maison des Œuvres. Elle est mise
à disposition par le diocèse de Nantes qui continue à dépenser le
denier du culte de ses fidèles catholiques… à destination de
migrants en très grande majorité musulmans.
Les Nantais n’ont pas fini de payer : « la
Ville de Nantes prend en charge les coûts liés à l’accompagnement assuré par
les associations, à l’équipement et au fonctionnement des locaux ainsi que
l’alimentation des personnes. Le Diocèse de Nantes met à disposition
gracieusement le site de la rue Turpin », précise la mairie dans son
communiqué.
Surtout, comme le quartier Dobrée qui avait enduré
des mois durant le squat
semi-officiel de la rue de Bréa, le quartier Saint Donatien ne
voterait pas bien – pas dans le sens de Madame le maire. Qui est nettement plus
décidée lorsqu’il s’agit d’évacuer un squat de l’extrême-gauche pro-migrants
dans un fief électoral, comme cette salle
municipale du quartier des Olivettes. Elle avait été occupée par
l’extrême-gauche à la rentrée… à la suite d’une réunion d’une association
pro-migrants plus proche de la mairie.
Des riverains très en colère
Cependant, des riverains semblent décidés à ne pas
se laisser faire, d’autant que la politique de Johanna Rolland ne résout
rien, bien au contraire : de 30 à 40 migrants arrivent chaque jour à Nantes, soit 1000
par mois, et les squats plus ou moins tolérés se multiplient.
L’accueil inconditionnel mis en place par la municipalité nantaise – qui s’en
défend – est à terme « intenable » pour Nantes, comme l’a rappelé
l’élue d’opposition (PCD) Blandine Krysmann dans nos colonnes.
Migrants. Mécontent de la hausse de sa taxe
d’habitation il écrit à la Ville de Nantes
Un lecteur nous adresse un courrier qu’il a rédigé
et envoyé à la ville de Nantes, pour se plaindre de la hausse de sa taxe
d’habitation, qu’il impute notamment au coût de l’accueil d’urgence de migrants
dans la commune.
Nous publions ci-dessous la lettre des riverains qui
se suffit à elle-même.
Nantais, habitants du quartier Malakoff/Saint Donatien,
La Mairie nous informe de la venue dans notre
quartier de 250 ‘ migrants ’ et de leur prise en charge financière par la
Municipalité. Après avoir rappelé que l’hébergement est un devoir d’ État,
la Mairie , qui oublie d’invoquer un devoir
d’État plus essentiel, le contrôle des frontières , insiste sur l’aspect
« provisoire, temporaire » de cette situation . Ce subit besoin de
nous informer, bien compréhensible en période pré-électorale, ne rassure pas
pour autant le citoyen et l’incite à poser à ses Élus quelques questions
supplémentaires :
– Jusqu’à quand dureront, sur le territoire
communal, ces ‘déportations’ de réfugiés à répétition , menées avec
le plus grand mépris , tant à l’égard des déplacés qu’à celui des populations
d’accueil ?
– Combien coûte au contribuable local, déjà
fortement sollicité, ce sinistre manège qui lui donne immanquablement
l’impression d’être lui aussi baladé ?
– Quels risques sanitaires et sécuritaires fait
prendre à la population d’origine la présence de plus en plus nombreuse
de ces groupes d’ individus qu’on nous présente comme « réfugiés » et
qui sont étrangement formés en grande partie, de mâles adultes en pleine force
de l’âge, et curieusement bien équipés ( smartphones , cartes de crédit , etc.
) Fuient-ils la guerre ou la Justice de leur pays ?
Où sont passés les enfants, les femmes, les
vieillards qui représentent traditionnellement les hordes fuyant les zones de
conflits ?
– Cette farce humanitaire consistant à aller
chercher sur place les candidats à l’aventure migratoire ( silence total des
médias officiels sur ces méthodes utilisées quotidiennement par les ONG )
a-t-elle pour but réel de réserver à ceux-ci un avenir d’insertion de
qualité, ou ne serait-elle pas plutôt une occasion pour certains de se bâtir à
peu de frais une bonne conscience , et pour d’autres, associations
subventionnées innombrables et employeurs indélicats, d’offrir une garantie de
ressource pérenne ?
Soyez informés, chers Élus , que cet ensemble de
vilaines pratiques auxquelles vous nous associez de fait, porte un nom :
Le Trafic ; et que la population nantaise se fera un honneur de ne
pas participer à un tel commerce rappelant les heures les plus noires de son
passé maritime !!!
Comité de Citoyens Électeurs
Nantais.
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Ça suffit !
Une jeune femme violée en se rendant à Rennes
Un viol se serait déroulé le 6 août au soir, entre
Nantes et Rennes.
Une jeune femme de 21 ans a en effet déposé plainte
au commissariat de Rennes, déclarant avoir été violée. Cette dernière faisait
du stop sur la route, lorsqu’un véhicule s’arrête, et qu’un individu la fait
monter. Durant le trajet, ce dernier serait sorti de la quatre voies, arrêté
dans un chemin de forêt, pour violer la victime, la laissant ensuite poursuivre
son chemin seule au bord de la route, en direction de Blain.
Cette dernière contacta téléphoniquement une amie
qui la récupéra, choquée, avant de la déposer en gare de Nantes pour qu’elle
rejoigne sa destination.
Une enquête est en cours.
Pour se protéger face à ces agressions, plusieurs
possibilités, notamment pour les femmes :
-
Se former aux sports de combat,
et notamment ceux apprenant des techniques simples de défense.
-
S’équiper avec
différents outils qui permettront le cas échéant une réponse
vive et adaptée en fonction de la situation.
-
S’inscrire dans un club de
tir, se former à la pratique de cette discipline et au maniement des armes.
(Sachant que cela ne donne nullement l’autorisation de porter une arme. Simplement
une formation et un rigueur).
-
Ne pas se mettre dans des
situations (faire du stop en est une) qui deviennent à risque plus la société
s’ensauvage.
Les
bretons, comme les corses, sont des résistants. Pas d'autoroutes payantes chez
eux, mais des voies rapides efficaces.
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