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- L’ORAGE QUI MENACE ROBERT MUELLER :
LES VOLEURS SORTENT DU BOIS.
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Les traîtres sont révélés ici en 2013, lorsqu’Obama
a remplacé Mueller par Comey à la tête du FBI. (Photo de la Maison Blanche)
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mercredi 10 octobre
Au cours des derniers jours, il y a eu des
développements dramatiques dans le contre-coup d’état avec l’affaire « d’obstruction
à la justice » de Robert Mueller instruite contre Donald Trump, qui est
clairement mise en cause.
Le témoignage de la semaine dernière de l’ancien
Conseiller Général du FBI James Baker devant la Commission Juridique et la
Commission de Supervision de la Chambre des Représentants a entraîné les
nouveaux développements suivants.
(1) Baker a témoigné qu’il avait personnellement
rencontré David Sussman, l’avocat d’Hillary Clinton et du Comité National Démocrate
(DNC), pour se faire remettre le dossier pourri sur Donald Trump établi par le
Renseignement Britannique, et d’autres documents sur le Russiagate, pour
ensuite, en tant que Conseiller Général du FBI, les utiliser pour obtenir un
mandat FISA pour un citoyen Américain, Carter Page qui a oublié d’informer le
tribunal qu’il s’agissait d’une opération du FBI agissant pour le compte de la
campagne Clinton pour espionner un citoyen Américain et un rival dans la course
à la Présidence. Cet aspect du rôle de Baker a été censuré dans le rapport de
la Commission du Renseignement de la Chambre des Représentants sur le
Russiagate pour des « raisons de sécurité nationale ». Il est évident
qu’il n’y avait pas de raisons de sécurité nationale pour le dissimuler. Au contraire,
la rédaction du rapport ne faisait que protéger la sécurité de l’emploi de
certains responsables et le désir de dissimuler au public l’énorme scandale qui
mettait en cause les étages supérieurs du Département de la Justice. Bien que
cet aspect du témoignage de Baker ait été largement diffusé, il est important
d’ajouter que l’espionnage s’exerçait au nom des Britanniques et de la Maison
Blanche d’Obama, en plus de la campagne Clinton.
(2) Baker a
également témoigné, selon les informations fournies à la fois par Sara Carter
sur la chaîne de TV Fox News et par John Solomon dans The Hill, qu’Andy McCabe
et Lisa Page sont venus le voir peu après une réunion de mai 2017 révélée en
premier par le New York Times. Le témoignage de Baker a corroboré les
informations de l’article du Times selon lequel le Procureur Général Adjoint
Rod Rosenstein envisageait sérieusement de porter un micro pour enregistrer ses
conversations avec le Président afin de réunir des preuves contre lui à la
suite de la révocation de James Comey de son poste de Directeur du FBI.
Rosenstein, selon ces informations, déclarait qu’il coopérait avec deux membres
du Cabinet pour invoquer le 25ème Amendement afin de révoquer le Président de
sa fonction. Rosenstein a nié l’article du Times sur cette réunion et, à
l’évidence Baker l’a réfuté au nom du Directeur-Adjoint du FBI, Andrew McCabe
et de son ancien avocat, Page. De plus, Baker était très proche et plein
d’admiration pour James Comey. Baker a également témoigné qu’il avait dit à
McCabe et Page qu’il ne voyait rien de contraire à l’éthique de porter un micro
afin de piéger le Président.
Encore une fois, il est utile de rappeler au lecteur
l’arrière-plan de l’histoire. Le Directeur limogé du FBI, James Comey, avait
précédemment déclaré au Congrès qu’il avait scénarisé chacune de ses
conversations avec le Président, tout en prenant des notes pour les faire
examiner lors de « revues critiques » par des juristes du FBI en vue
des étapes suivantes du processus. Il
est évident que Comey menait une campagne pour piéger le Président. Il ne
serait pas exagéré d’imaginer que Comey lui-même portait un micro. Comme une
des sources de John Solomon a résumé l’implication : « Vous sortez de
l’audition de Baker avec la quasi-certitude que la direction du FBI dans ce
créneau de 2016-17 se considérait comme beaucoup plus qu’un service d’enquête
neutre, mais en fait comme une force pour empêcher l’élection de Trump et
ensuite pour l’annuler après qu’elle ait eu lieu ».
Tous les gens impliqués dans cette affaire sont des
témoins-clés dans la plainte de Mueller que le limogeage de Comey par Trump
constituait une obstruction à l’enquête du Département de la Justice sur Trump.
Toutes ces personnes, à l’exception de Rosenstein, à savoir Baker, McCabe, et
Page ont été limogées ou ont démissionné, avec l’aval de Rosenstein, pour faute
professionnelle manifeste. Bien que beaucoup de gens aient conclu à raison que
le Président avait utilisé ses pouvoirs constitutionnels pour limoger Comey,
cette affaire prend une toute autre tournure, dans la perception du public, si
le FBI et le Département de la Justice menaient un coup d’état silencieux et
illégal contre le Président et que le Président ait réagi pour y mettre fin.
Les preuves de cette assertion du Président commencent tout doucement à émerger
à la lumière.
(3) Baker a également reçu une version du dossier
Steele (l’agent Britannique) de la part du journaliste David Corn de Mother
Jones, qui était un des contacts journalistiques de Steele. Corn semble avoir
servi de porte dérobée, au cours de la période où Steele a été limogé par le
FBI, tout comme l’associé du Procureur Général Adjoint, Bruce Ohr. L’objectif
était de permettre à la désinformation de Steele de continuer à alimenter le
FBI, à l’encontre de tous les protocoles. Une vision stupéfiante.
Le Procureur Général-Adjoint Rosenstein, qui
accompagnait le Président en Floride sur Air Force One lundi, à qui on a fourni
son rapport de ces réunions, a reçu l’aval du Président, du moins
temporairement. On ne sait pas ce que Rosenstein a dit au Président sur les
réunions de mai 2017. Rosenstein devait comparaître devant la Commission
Juridique de la Chambre des Représentants réunie à huis clos jeudi, mais cette
audition pourrait bien être reportée. Les mémos d’Andrew McCabe qui relatent la
teneur de ces réunions ont fait l’objet d’une assignation de la part de la
Commission de la Chambre des Représentants, mais n’ont pas été remis. On ne
sait pas si leur remise à la Chambre est bloquée par le Conseiller Spécial
Robert Mueller qui dispose de copies des mémos de McCabe. McCabe lui-même fait
l’objet d’une enquête criminelle pour avoir menti à propos des fuites à la
presse et d’un grand jury en exercice à Washington D.C.
Deux choses sont absolument claires concernant ces
évolutions : Rosenstein est désespérément en conflit d’intérêt concernant
sa supervision de l’enquête de Robert Mueller, étant donné qu’il est un témoin
crucial des évènements mêmes sur lesquels porte l’enquête et que son poste est
en jeu. Ce conflit pourrait bien disparaître si, comme on le prétend « il
n’y a rien à voir » dans la poursuite de Mueller sur les accusations
d’obstruction. Quel qu’ait été son rôle dans les réunions de mai 2017,
Rosenstein était présent lorsque quelqu’un a proposé de mener un coup d’état
silencieux contre le Président des Etats-Unis lors de réunions dont nous
entendons parler pour la première fois. Au lieu de se retirer de la
conspiration et de dénoncer les responsables, Rosenstein a décidé de nommer le
Conseiller Spécial Robert Mueller, ce qui a mené à une chasse aux sorcières
contre Trump. Répétons que les implications sont relativement stupéfiantes. Pourtant,
le fait que Trump continue de faire confiance à Rosenstein, du moins
temporairement, signifie probablement que quelque chose de beaucoup plus gros va
émerger, à part les implications logiques des faits qui ont déjà été publiés,
Un deuxième développement a été rapporté la semaine
dernière qui, en temps normal, constituerait un énorme scandale en soi. Selon
des articles publiés à la fois dans le New Yorker et le Daily Caller, un
Sénateur Démocrate membre de la Commission du Renseignement du Sénat, a
sous-traité la propre enquête du Sénat sur le Russiagate en mars 2017 à un
groupe dirigé par l’ancien membre de la Commission du Renseignement du Sénat,
Daniel Jones. Le Sénateur Démocrate a sous-traité l’enquête de la Commission
d’enquête du Sénat à un groupe privé financé à cet effet par George Soros et
une bande de milliardaires de la Silicon Valley. Soros et Cie, ont fait
parvenir 50 millions de $ à Jones pour continuer le travail de Christopher
Steele du MI6 Britannique et de Fusion GPS pour éliminer Trump. Ceci contamine
à l’évidence toute conclusion que la Commission du Renseignement du Sénat
pourrait présenter sur le Russiagate et l’étendue de la sous-traitance pourrait
faire l’objet d’une importante enquête. La Commission du Renseignement du Sénat
était-elle entièrement corrompue par Soros et Cie ? A Washington D.C., les
spéculations vont bon train sur le fait que les cercles fréquentés par le
Sénateur sont ceux du Sénateur Diane Feinstein qui est l’ancienne patronne de
Jones.
Comme nous l’avons dit précédemment, le public doit
être informé de toute cette affaire, surtout des documents révélant le rôle des
Britanniques dans cette affaire sordide qui a divisé notre nation, et ceci de
toute urgence.
Traduction
de Patrick T.
Merci de signer la pétition demandant la déclassification de ces documents.
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