26/07 - BENALLA - LES SYNDICATS DE POLICE DÉNONCENT
DEVANT LA COMMISSION DU SÉNAT.
![]() |
Nous devons arrêter Macron de toute urgence afin que des truands n’aient plus la main mise sur notre pays. Il faut arrêter l’hémorragie. |
L'arrogance puérile de
cette honte nationale qui se permet de bafouer les lois et mépriser les membres
des institutions nationales, prend des risque en narguant le peuple Français du
haut de sa grandeur. Peut être n'est-il pas aussi intouchable qu'il le croit
https://www.youtube.com/watch?v=66V3tkfYuVk&t=3s
Marc Granié vous a montré l'exemple d'un homme courageux et droit! Il est libre, mais fatigué, il a été fortement drogué, mais il va très vite remonter la pente et il est soulagé de ce poids qu'il ne pouvait plus porter.https://www.youtube.com/watch?v=66V3tkfYuVk&t=3s
----------------------------------------------
La petite phrase assassine pour faire oublier l'essentiel?
Rappel :
Perquisition en cours à l'Élysée
"Macron est le chef" dit Gérard Collomb rassuré
Affaire Benalla : «Emmanuel Macron sort du
silence de la pire des manières»
Thierry Paul Valette à propos de Macron : "Venez
me chercher". "Très bien, j'arrive !"
Entretien du 25/07/2018
avec Thierry Paul Valette, président du mouvement Egalité nationale. Très
insatisfait du comportement d'Emmanuel Macron dans l'affaire Benalla, parlant
de «lâcheté»
"Des changements à la
rentrée!". Tu vas sortir Macron!
Rassemblement samedi
Affaire Benalla : "Il y a quelque chose de
puéril dans la posture d'Emmanuel Macron"
Ce mercredi, Julien Pearce
reçoit Philippe Bas, sénateur LR de la Manche, président de la commission des
lois du Sénat pour évoquer l'affaire Benalla.
https://www.youtube.com/watch?v=nUdCCnjacQMLes français suivent en grand nombre cette affaire malgré les vacances. Le patriotisme est de retour :
Affaire Benalla: Des records d'audience pour BFMTV,
LCP-AN et Franceinfo grâce aux auditions parlementaires
"Mr Collomb, ministre de l'intérieur (de la police), heureusement qu'il y a les journaux pour vous informer"
https://www.20minutes.fr/politique/2313323-20180725-affaire-benalla-records-audience-bfmtv-lcp-an-franceinfo-grace-auditions-parlementaires"Mr Collomb, ministre de l'intérieur (de la police), heureusement qu'il y a les journaux pour vous informer"
LES SYNDICATS DE POLICE DÉNONCENT :
Ils ont décrit un homme au comportement "autoritaire et déplacé" aux missions mal définies.
Les syndicats de police ont enfin l’occasion de s'exprimer et de représenter les forces de police sans crainte, le peuple représenté par les élus de l'opposition est de leur côté.
Franceinfo : Les syndicats de police, auditionnés dans le cadre de l'affaire Alexandre Benalla, ont largement dénoncé la personnalité et le rôle de l'ancien collaborateur du chef de l'Etat, mardi 24 juillet, lors d'une audition par la commission d'enquête du Sénat. Fabien Vanhemelryck, secrétaire général délégué du syndicat Alliance, a même qualifié d'"exécrables" les relations entre Alexandre Benalla et les fonctionnaires de police sur le terrain.
"Il venait très souvent sur les services d'ordre pour des débriefings. Les cadres de la préfecture de police le connaissaient comme une autorité", a assuré David Le Bars, secrétaire général du Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN). "Tout commissaire que vous êtes : c'est le conseiller du président de la République...", a-t-il ajouté.
Une "confusion des rôles et des missions" Benalla avait les clés de la villa du Touquet de Brigitte et Emmanuel Macron. Un proche d'Emmanuel Macron confie à «L'Opinion» qu'Alexandre Benalla «vivait dans l'intimité du couple présidentiel», confirmant sa proximité avec le président.
Yves Lefebvre, secrétaire
général d’Unité SGP Police FO, a affirmé devant la commission d’enquête du
Sénat, réunie mardi 24 juillet, qu’il y aurait au sein du groupe de sécurité du
président de la République, « du personnel privé » qui n’est ni issu ni de la
police ni de la gendarmerie. Il a été invité par les sénateurs présents à
prouver et étayer ses propos.
«J’emploie le terme de
barbouzes, car ces gens-là n’ont aucune habilitation, ce ne sont ni plus ni
moins que des vigiles, qui étaient employés manifestement par M. Benalla, dans
le cadre de la protection de la présidence de la République.»
Interrogé sur ses «sources»,
le secrétaire général d’Unité-SGP évoque des «renseignements obtenus
auprès de nos réseaux de délégués, de représentants locaux, au sein du service
de protection des hautes personnalités». Et d’ajouter :
«M. Benalla faisait régner la
terreur au sein du GSPR. Il allait jusqu’à l’insulte à l’égard des gradés et
gardiens de la paix.»
«On nous évoque la
possibilité que des civils aient travaillé aux côtés, voire carrément dirigé la
troupe d’élite chargée de la protection du [président de la République]. Si
c’était avéré, ce serait une violation de l’État de droit. Nous allons enquêter là-dessus
sans délai.»
Un comportement "autoritaire et déplacé"
Au retour des Bleus, après leur victoire en finale de la Coupe du Monde, Alexandre Benalla aurait eu un comportement "autoritaire et déplacé" avec les gendarmes mais aussi les fonctionnaires de la police aux frontières, a ajouté David Le Bars, qui relève également sa présence sur les cérémonies de panthéonisation de Simone Veil, le 1er juillet.
Selon le secrétaire général d'Unité-SGP, Yves Lefebvre, "Alexandre Benalla faisait régner la terreur au sein du GSPR [Groupe de sécurité de la présidence de la République]. Il allait jusqu'à l'insulte à l'égard des gradés et gardiens de la paix".
Ne manquez pas l'audition d'Alexis Kohler, secrétaire générale de l'Élysée en direct et en intégralité sur Public Sénat https://twitter.com/publicsenat
Aucun commentaire:
Publier un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.