30/06 - LA LOI «VEIL» ET SES ORIGINES OCCULTES.
COMMENT LE SIONISME A PLANIFIÉ LA MORT
DE MILLIONS D’ENFANTS BLANCS ET CATHOLIQUES.
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Simone Veil. La face
immonde de l’avorteuse
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Simone Veil vient de nous quitter. Ne pleurez pas, braves gens, au signal des médias !
La loi de la juive
Simone Veil a plus de 40 ans, décennies durant lesquelles près de 8 millions d’enfants
de souche européenne et catholique ont été détruits. La législation sur le
sujet n’est que le décalque des efforts d’activistes et scientifiques juifs
dans l’Amérique de l’Après-Guerre.
Avortement aux USA :
un mouvement juif
L’humanité est
redevable à la communauté juive en matière d’évolution des «mœurs sexuelles». La communauté juive elle-même revendique haut et fort cette
contribution à la «libération sexuelle occidentale».
Quelques recherches
un peu approfondies sur la toile permettent de comprendre le rôle que de
nombreuses personnalités d’origine juive ont joué dans le combat contre le «puritanisme sexuel» catholique au cours du XXe siècle.
Point de départ de
cette recherche la création en 1968 du groupe le plus influent de promotion de
l’«avortement» aux États-Unis, le «National Abortion Rights Action
League (NARAL)». Deux de ses créateurs sont justement d’origine juive: Bernard
Nathanson et Bettie Friedan. Ces deux derniers ont créé le «NARAL» avec
l’écrivain juif Larry Lader.
C’est en réalité
l’activité d’écrivain de Larry Lader qui est la plus utile pour remonter aux
sources du mouvement international en faveur du «contrôle des naissances».
Larry Lader explique dans un interview réalisée en 1991, disponible sur
internet* que l’origine de son combat remonte à la biographie qu’il a
écrite dans les années 50 de la militante eugéniste américaine, Margareth Sanger,
qui lutta dès le début du siècle aux USA pour le « droit à l’avortement » et
au « contrôle des naissances ».
Militants juifs
marxistes et antiracistes
La militante
eugéniste – mariée à un juif allemand – est aujourd’hui difficilement citable
par les dirigeants des centres de «planning familial» ; en raison
justement de son idéologie ambiguë où transparaît manifestement un eugénisme
radical très en vogue aux Etats-Unis dans l’entre-deux-guerres mais aujourd’hui
largement occulté :
«Aucune femme et aucun
homme n’aura le droit de devenir parents sans un permis de parenté» (1934)
«Toutes les misères
de ce monde sont imputables au fait que l’on permet aux irresponsables
ignorants, illettrés et pauvres de se reproduire sans que nous ayons la moindre
maîtrise sur leur fécondité», cité dans «Margaret Sanger, father of
modern society» par Elasah Drogin, New Hope, KY, U.S.A.1985.
Il fut évident dès
le départ qu’un nombre considérable d’éléments israélites encadraient
mouvement de Madame Sanger. Un grand nombre de collaboratrices de l’«American
Birth Control Movment» étaient des femmes d’origine juive. Il faut lire à
ce sujet l’excellent article de Rebecca Davis sur le site du «Jewish
Women’s Archive» pour se rendre compte que les femmes d’origine juive ont
été à la pointe du combat en faveur de l’«avortement» aux Etats-Unis dès le
début du XXe siècle. Citons parmi les militantes connues : Emma Goldman, Rose
Pastor Stokes ou Gertrude Weil.
Le cas de Gertrude
Weil est emblématique. La jeune femme, nous dit Rebecca Davis, est de tous les
combats : active dans un grand nombre d’organisations «féministes», «interraciales» ou «sionistes», Gertrude Weil originaire de Goldsboro,
Caroline du Nord, va rejoindre le «Birth control movement» comme
lobbyiste et soutiendra financièrement le mouvement de Margareth Sanger.
Lobbying intense et
soutien de l’oligarchie américaine
Le combat juif pour
l’avortement fut long et difficile. Dans l’interview déjà cité plus haut, Larry
lader nous décrit le parcours semé d’embûches des militants «pro-avortement», parcours qui aboutira finalement à la loi de dépénalisation
de 1973. Qui aurait songé à une telle victoire dans la société «WASP»
d’outre-atlantique ? Alors que trois ans auparavant, en 1970, les membres du «NARAL» confinaient encore et toujours au désespoir. Les lois en faveur de
l’avortement votées en 1968 dans l’Etat de New-York venaient effectivement d’y
être abolies à cause de l’opposition d’organisations religieuses chrétiennes.
Les soldats juifs du
«NARAL» ont continué à y croire et à faire un lobbying intense auprès des
autorités politique du pays. En 1972, contre toute attente, le gouverneur
américain de l’Etat de New-York, Nelson Rockfeller vient à la rescousse des
guerriers du «NARAL» en imposant son veto à l’abolition des lois
pro-avortement. La dépénalisation de 1973 est au bout du chemin (arrêté
constitutionnel de la «Cour Suprême» Roe versus Wade). A la fin de
l’interview, alors que le journaliste lui demande d’où lui vient cette
persévérance dans le combat en faveur de l’«avortement», Larry Lader avoue
humblement à son interlocuteur ne pas très bien savoir l’origine de son énergie
militante : « This is a question that goes down to the roots » (C’est
une question qui puise aux racines).
Parmi les autres
personnalités d’origine juive qui ont contribué à faire avancer la cause aux
Etats-Unis, qu’il nous soit encore permis de citer ici :
La célèbre féministe
américaine Gloria Steinem, considérée avec Betty Friedan, comme une des femmes
qui a le plus contribué dans l’Amérique d’après-guerre à la «libération
sexuelle» de la femme.
Le Dr Christopher
Tietze qui a consacré une grande partie de sa vie à l’«International Planned
Parenthood Federation».
Le Dr. Alan Frank
Guttmacher a été le président de la «Planned Parenthood Federation of
America» et vice-président de l’«American Eugenics Society». Il a fait
plus que tout autre médecin pour promouvoir l’«avortement» et la
stérilisation dans son pays. Il a créé en 1964 l’«Association for the study of
Abortion» et est membre de l’«Association EngenderHealth». Il s’agit
d’une association basée à New York active internationalement dans des
domaines aussi variés que la contraception, la «prévention du sida», l’«égalité entre les sexes», la «stérilisation», la «santé sexuelle
et reproductive»… Elle compte toujours parmi ses membres d’honneur un panel de
personnalités très éclectique :
– La militante
féministe déjà citée Margareth Sanger.
– Le professeur
américain de Stanford d’origine juive Paul Ralph Ehrlich, «père» du concept
de surpopulation. Son ouvrage, «The Population Bomb», a été l’étincelle
qui a déclenché le mouvement «anti-nataliste» aux USA puis
ailleurs.
– L’auteur de
science-fiction et biochimiste juif Isaac Asimov dont la littérature a abreuvé
des générations d’adolescents.
Contraception et
médecine juive
Ces informations ne
seraient pas complètes si n’étaient pas évoqués les chercheurs d’origine juive
qui se sont investis dans la pilule contraceptive. La commercialisation de la
pilule contraceptive ne s’est pas faite en un jour; plusieurs chercheurs ont
contribué au fil du temps à élaborer des techniques de plus en plus
performantes en matière de contraception féminine.
Le chimiste
judéo-autrichien Carl Djerassi a contribué avec le juif mexicain George
Rosenkranz à l’invention en 1951 de la «noréthindrone», une «progestagène de synthèse», à partir de laquelle le savant juif américain
Gregory Pincus fera le premier contraceptif oral.
Il est important de
souligner que les progrès en matière de contraception sont le fruit d’un
patient travail d’équipe. Le docteur Gregory Pincus avait travaillé après
guerre à la
Columbia University de New York en compagnie du juif Seymour
Lieberman et du Professeur français Etienne-Emile Baulieu.
Le même Dr
Etienne-Emile Baulieu est un des inventeurs de la pilule abortive «RU-486» plus longue à s’imposer en Europe à cause du lobbying des mouvements «pro-vie». Les évêques italiens ont récemment recommandé aux médecins italiens
de ne pas prescrire son usage. Quoi qu’il en soit, pour sa contribution à la
science, Etienne-Emile Baulieu a été fait en France chevalier de
l’Ordre du Mérite et Grand Officier de la Légion d’Honneur.
Ce scientifique
français est issu d’une famille juive d’Alsace. Né sous le patronyme d’Emile
Blum, il décide de changer de nom durant la guerre en raison de ses activités
antifascistes contre l’Allemagne nationale-socialiste.
Les juifs et
l’avortement en France
En France, le
mouvement pour le «planning familial» a été créé dans le sillage de
son homologue américain grâce à l’action conjointe de la féministe protestante
Evelyne Sullerot, de la gynécologue Marie-Andrée Lagroua Weill-Hallé et du
docteur Pierre Simon.
Evelyne Sullerot est
née Hammel, une famille protestante bien connue pour son opposition pendant la Seconde Guerre
mondiale au régime de Vichy. Son père et sa mère ont reçu à titre posthume, la
médaille des Justes de «Yad Vashem» pour avoir sauvé onze
juifs pendant la guerre.
Marie-Andrée Lagroua
s’est mariée en 1944 au médecin Benjamin Weill-Hallé d’origine juive alsacienne.
Pierre Simon est un
gynécologue et endocrinologue français issu d’une famille emblématique du
judaïsme alsacien-lorrain. Il a été grand maître de la «Grande Loge de
France», une des deux plus grandes obédiences françaises, de 1969 à 1972 et de
1973 à 1975. Pacifiste dans l’âme il a ensuite travaillé activement à un
dialogue – comprendre subversion – entre la «maçonnerie» et le «catholicisme». Un travail qui portera finalement ses fruits au lendemain du concile de «Vatican
II».
Ceci nous permet
d’ailleurs de saluer ici l’important travail de lobbying de la franc-maçonnerie
française qui a permis le passage de la loi française en faveur de l’«avortement» en 1975.
Des femmes qui voulaient garder leur enfant se sont vues persécutées pour les faire avorter en toute légalité.