28/10 - DÉCOMPOSITION FRANÇAISE,
- COMMENT EN EST-ON
ARRIVÉ LÀ?
Un livre de Malika Sorel-Sutter de novembre 2015
Une française d'origine algérienne qui aime la France mieux que la plupart des français de souche et c'est le cas de beaucoup de ces nouveaux français.
«L'un de nos
malheurs réside dans le fait que beaucoup de nos élites ne sont pas fières de la France … Ce que j'ai observé
chez nos élites est plutôt le résultat d'un cocktail de désinvolture, de
cynisme, et d'indifférence envers la nation.»
Voir de haine pour Sarkozy, l'américain.
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Le livre "DÉCOMPOSITION FRANÇAISE, - COMMENT EN EST-ON ARRIVÉ LÀ?
La décomposition de la France est engagée. Cela ne
fait plus de doute.
C’est en observant le
système administratif et le monde politique, de l’intérieur, que Malika Sorel a pris
la mesure de la faillite de nos élites. L’auteur a dû faire le constat de la servilité,
de l’incurie, de l’impéritie, du cynisme, mais aussi de la peur, et de son
corollaire, le mépris de la liberté, de la liberté d’esprit.
La pente est prise depuis
trop longtemps, par les mêmes toujours au pouvoir, du renoncement à analyser
les problèmes en profondeur, à reconnaître leurs erreurs et à reprendre les
questions douloureuses, dont les conclusions se révèlent bien souvent
déplaisantes…
Nos élites de commandement
savent pourtant exactement ce qu’il en est des difficultés inhérentes à l’immigration
et à l’intégration, qui se posent d’une manière plus aiguë que jamais. Et c’est
là la source majeure de la dépression collective dans laquelle les Français ne
cessent de s’enfoncer.
Dans ce livre
très personnel, elle raconte les choix opérés, auxquels les Français n’auront
pas été associés, qui ont conduit le pays à sa situation actuelle.
Malika Sorel est
française, issue de l’immigration arabe. Née en France, elle a longtemps vécu
en Algérie. Diplômée de plusieurs grandes écoles, de formation scientifique,
elle a travaillé dans le secteur des hautes technologies. Elle a choisi de se
consacrer à des sujets qui engagent, selon elle, l’avenir de la France et de son peuple.
Elle est nommée membre du Haut Conseil à l’intégration (HCI) en septembre 2009.
Elle a également travaillé au sein de la mission de
réflexion sur la laïcité du HCI.
Elle est notamment l’auteur
de deux livres : "Le Puzzle de l’intégration" 2007 et "Immigration-Intégration
: le langage de vérité" 2011.
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Les «
Illusions perdues » de Malika Sorel :
Le livre de Malika Sorel
n'est pas sans défauts. Il est foisonnant ; hésitant entre l'ordre
chronologique et thématique, entre témoignage personnel et analyse théorique ;
accumulant extraits d'émissions de radio ou de télévision, citations,
anecdotes, dans un style qui manque parfois d'élégance. Un air de déjà-vu, déjà
lu, qui gâche l'originalité du propos. Mais l'essentiel est ailleurs. Il se
dégage de cet ouvrage une sincérité, une authenticité, qui n'empêche nullement
la hauteur de vue. Cette femme, née en France, de parents algériens, ayant
passé son enfance en Provence, a reçu une brillante formation scientifique
d'ingénieur.
Elle aurait pu être Malika
Sorel, après Rachida Dati, Rama Yade, Fadela Amara, Najat Vallaud-Belkacem, ou
Myriam El Khomri, Ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle
et du Dialogue social, toutes ces femmes dont nos
présidents raffolent et font des ministres et des vedettes médiatiques. Mais
Malika n'a pas voulu jouer ce jeu pervers de victimisation et de discrimination
positive, de casting et de carriérisme.
Elle a souhaité,
Malika, devenir française à l'ancienne, en s'assimilant. Mal lui en a pris. Nos élites ne mangent plus de ce pain-là: «Dans la
bouche de nos élites politiques, médiatiques et intellectuelles, le terme
“populaire” ne renvoie plus aux Français de souche, tout comme “jeunes” ne
désigne pas leurs enfants ou petits-enfants.» Malika a cru que Villepin serait
son grand homme, avant de l'entendre reprendre l'antienne de la victimisation. Elle a vu Nicolas
Sarkozy tenter de détruire la
République indivisible, avant que Simone Veil ne lui
interdise in extremis sa réforme constitutionnelle qui aurait inscrit
la diversité dans le marbre. Elle a été membre du Haut Conseil à
l'intégration que le gouvernement Ayrault supprimera pour défense excessive de
la laïcité. Elle a entendu une conseillère du président Hollande lui jeter d'un
ton rogue: «Nous avons besoin d'optimisme.»
« Nous vivons la mise en
minorité progressive
du peuple autochtone sur ses propres terres.
C'est le simple jeu de l'arithmétique,
et cela, les élites
politiques le savent »
Malika Sorel-Sutter
Malika avait tout faux,
puisqu'elle croyait en la
France qu'elle aimait d'amour. «Il y a dans l'assimilation
une dimension magique, comme dans l'amour.» Malika a assisté à des comités
interministériels où chacun rivalisait d'inventivité immigrationniste ; où les
Français étaient sommés de s'habituer aux mœurs des étrangers et non l'inverse; où
l'immigration était présentée comme la solution à tous nos maux.
Où les professeurs,
policiers, médecins, les médias, avaient intérêt à améliorer leur
«interculturalité».
Elle a écouté les commissaires européens comme les
représentants des États membres vanter une Europe multicultuelle comme l'avenir
radieux du continent européen (et on a laissé l'Islam nous envahir, les terroriste s'installer..) ; et réclamer que les programmes scolaires de
tous les pays s'y adaptent. On comprend mieux, à la lire, où a été puisée la
réforme des programmes de Najat Vallaud-Belkacem.
Elle a entendu une élue
socialiste demander au premier ministre qu'on «décloisonne les femmes de
polygames» pour qu'elles vivent plus à l'aise dans des appartements séparés.
Elle a entendu Jean-Louis Borloo* manger le morceau du «grand remplacement»: «Il
faut bien que les Français, on ait en tête une chose, c'est que l'avenir du
pays se joue là, dans les banlieues. Pourquoi? Parce que le taux de natalité de
ces quartiers est deux fois plus élevé que sur le reste du territoire
national.»
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* Quand on a lu ce livre,
on ne comprends bien ou que trop bien ce qu'il est venu faire dans le
gouvernement. Tout s'achète.
Un homme en colère de Jean-Louis Borloo
(2002)
C'est d'une énorme colère
affectueuse qu'il s'agit ici. De ces colères qui déchireront peut-être un
instant le rythme des habitudes. Ce livre est un appel à l'opinion, au citoyen,
un appel à l'analyse lucide et au renversement de notre organisation. Non pas
un appel à renverser l'État au profit du privé, vieille lune idéologique, mais
à remettre à plat complètement le modèle français. C'est le système que je
remets en cause, pas les hommes. Élu d'une ville qui a connu il y a vingt ans
le plus grand cataclysme économique et social d'Europe occidentale et qui se
redresse moralement, économiquement et socialement jour après jour avec
obstination, je ne supporte plus le gâchis français. Cela fait maintenant plus
de douze ans que je cours dans tous les couloirs, les ministères, les régions,
les départements, les banques ; j'ai fini par savoir comment cela ne marchait
pas. J'ai côtoyé des hommes scrupuleux, intègres - et ce n'est pas une formule
de style. Alors j'en suis arrivé à la conclusion que, si les hommes étaient
pertinents, c'est évidemment le système dans lequel ils travaillent qui ne
l'est pas ou,
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Elle a vu les auteurs d'un rapport gouvernemental effacer
subrepticement une phrase tirée de l'enquête Pisa 2012: «Plus préoccupants
encore, les écarts entre les élèves issus de l'immigration et les autres
demeurent très importants, même corrigés des variables socio-économiques.» Et
faire comme s'ils n'avaient pas entendu que dans les concours d'accès à la
fonction publique: «C'est à l'écrit sur copies anonymes que les élèves de
l'immigration échouent.» Et pas du fait des discriminations à l'oral! Elle a
compris que c'était pour cette (fausse) raison pourtant que Sarkozy avait
supprimé l'épreuve de culture générale de nombreux concours administratifs.
Elle a observé «la crème de la crème» du Conseil d'État, faire assaut de
subtilité juridique pour autoriser le voile à l'école, pour les élèves d'abord,
et puis pour leurs mères qui accompagnent les sorties scolaires,
ou permettre
aux maires de contourner la loi de 1905 pour construire toujours plus de
mosquées.
Elle a entendu Erdogan recommander à ses nationaux immigrés de bien
conserver des prénoms turcs pour leurs enfants alors que la France n'exigeait plus des
prénoms français sur son territoire.
Elle a entendu Éric Besson, officiellement
ministre de l'Identité nationale d'un gouvernement de droite, proclamer en
2010: «La France
n'est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c'est un
conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n'y a pas de Français de
souche, il n'y a qu'une France de métissage.»
Malika a tout compris. Nos élites
ont mis au rencart le peuple français, pour une utopie universaliste de
citoyens du monde. «Nous vivons la mise en minorité progressive du peuple
autochtone sur ses propres terres. C'est le simple jeu de l'arithmétique, et
cela, les élites politiques le savent… Nous ne sommes plus dans un régime de
solidarité nationale, mais dans celui, imposé par le haut, d'une solidarité
internationale… Politique du dernier arrivé, premier servi.» Non, ce n'est pas
un complot, c'est pire, c'est la réalité. Malika est venue, a vu, et a été
vaincue. Mais au moins, au bout de cet itinéraire, qui pourrait s'intituler
«Illusions perdues», Malika sait. Elle sait que nos élites savaient. Et
qu'elles ont voulu ce que, désormais, nous savons.
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 12/11/2015
Marie : Je suis encore passée aujourd'hui à la gare
du Nord. Je n'ai quasiment pas vu de français. Ils ne prennent plus les
transports en commun dans cette zone. J'ai invité un ami indien en France pour
lui faire visiter "le pays de la Liberté ", il a bien été surpris, de plus il
est arrivé en pleine gay pride. Nous sommes passé à la gare du nord en venant
de l'aéroport de Roissy et il m'a dit : "je croyais que les français
étaient blancs. Je vous jure que c'est vrai. Un autre qui vit sur un voiliers
et navigue à travers le monde, quand il a vu le nombres d'étrangers, il y a
déjà une dizaine d'années, m'a dit : "vous êtes foutus". J'avais vu
moi même au Panama une grande ville tombée aux mains des africains. La police
ne voulait pas que je me promène à pied et voulait me mettre dans un taxi. Je
l'ai fait. Les rues étaient dégoûtantes, les maison prêtes à s'écrouler, des baraques
en tôles étaient construite sur les balcons d'ancien bâtiments qui avaient été
magnifiques et il n'était pas rare de voit jeter un seau plein d'excréments par
les balcons. Mon beau capitaine de 1m90 s'est fait volé son ordinateur portable par
des gamins qui l'ont tabassé. C'était à Colon.
Heureusement quand la situation mondiale va s'arranger
et que tous les pays auront été libérés et seront prospères, chacun pourra
retourner dans son pays et nous pourront faire la chasse aux terroristex plus
efficacement. Mais en attendant nous devons faire respecter notre pays et nos
coutumes puisque notre gouvernement ne le fait pas et nous livre à l'Islam.
Avant et après.
Ici la ville de Colon au Panama sur la côte atlantique
Ici la ville de Panama sur la côte Pacifique
Un témoignage :
Revenons en France :
Musique !
Adieu ma belle France :
L'heure est grave ! Mais, restons optimistes. Heureusement, des
personnes que nous ne connaissons pas encore, ont travaillé pour nous qui
dormions. A nous de leur faciliter la tache en préparant le terrain au quotidien en redevenant FRANÇAIS et fiers de l'être. Faisons mentir la fin de la chanson.
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