12/12 - SANS DOMICILE FIXE AUX USA.
CAROLINE DU
NORD:
LES CAMPS DE
CONCENTRATION FEMA*
POUR LES SANS
DOMICILE FIXE.
par Massimo Bonato
Les États Unis seraient l’«empire de la liberté» et de
l’initiative privée, le paradis des «opportunités», des «droits humains». Dans
ce paradis, les «sans domicile fixe», les chômeurs qui ont perdu leur maison et
la possibilité d’avoir un revenu pour en louer une – sont enfermés dans des
camps de concentration.
Ils sont tout comme ceux des nazis ou des camps d’enfermement des
pays en guerre.
Le problème est que aux Etats
Unis il n’y a aucune guerre. Mais les sans domicile fixe sont – tacitement
ou explicitement – encadrés en tant qu’ennemis combattants. Et enfermés. Sans
infraction, sans procès, sans limite temporelle.
Force de travail en excès, pour le moment
inemployable, donc «stockée» en attente de temps meilleurs. S’ils
y en aura encore. Et sinon laissée à macérer sous les aléas atmosphériques comme l’une
des mille villes fantômes qui parsèment le panorama des Etats-Unis.
Des camps Fema en Caroline du Nord, on n’en
sort qu’en acceptant de se faire enfiler une micropuce sous la peau.
Aux sans domicile fixe détenus dans
le camp Fema de la Caroline du Nord, a été donné le choix de
rester ou s’en aller, mais seulement à condition que leur soit implantée une
puce. La Rfid (Radio-frequency identification) servirait à les mettre
sous monitorage et à les maintenir sous contrôle, en échange de bénéfices de
survie, nourriture, couvertures, vêtements.
La nouvelle s’est répandue, pour différentes
raisons : d’abord le monitorage, et de fait la limitation des libertés
personnelles d’hommes et de femmes détenus sans avoir commis d’infractions,
mais seulement parce que sans domicile fixe, et sans emploi. A ceux qui se souviennent du roman de John Steinbeck "Les raisins dela colère" et le film qui s’en inspira il n’est pas difficile de s’en faire
une idée.
Qu’est-ce que la Fema ?
La Fema est une agence
gouvernementale (Federal Emergency Management Agency) née pour la
gestion d’émergences humanitaires en 1978, sous la présidence Carter
(Wikipedia). Une sorte de Protection civile sous la supervision du
Département pour la sécurité nationale.
Son parcours est tracé par la paranoïa de la
prévention : auparavant pour une attaque nucléaire, puis pour des
calamités naturelles, puis pour les attaques terroristes. Aujourd’hui dans ses
camps elle enferme des sans domicile fixe.
Les camps Fema :
La Fema a à sa disposition environ 800
camps délocalisés dans tous les Etats Unis et peut détenir jusqu’à 2
millions de personnes : des réfugiés hypothétiques, selon sa mission. Mais
pas qu’eux. La relative autonomie a conduit à une gestion pas toujours uniforme
de ces camps, pour la plupart maintenus vides et prêts, par exemple en Caroline
du Nord dans les années 70, pour une réclusion de masse d’activistes de
couleur, au cas où ils se fussent soulevés.
Escogitur.com rappelle les mots exprimés à ce
sujet par le chef de la Fema en 1987, Alonzo Chardy, au «Miami
Herald», lequel avait rédigé un ordre exécutif justement destiné
à suspendre la Constitution avec la déclaration relative de
la loi martiale s’il eut été nécessaire. Une Guantanamo en
plus grand, prête entre autres à accueillir aussi en effet des personnes de foi
islamique, après les faits du 11 septembre 2001.
Les camps Fema reviennent récemment à
l’honneur des chroniques, lorsque la Caroline du Nord devient
l’exemple de comment seulement le vagabondage pourrait être poursuivi. En août
2013 le Columbia City Council approuve le programme de création de forces
spéciales de police qui poursuivent la «qualité de vie». De
fait, il s’agit de patrouilles qui, depuis octobre de la même année ouvrent les
portes du camp Fema de Columbia. Ils poursuivent les sans domicile fixe accusés
de vagabondage ou surpris dans le sommeil ou à uriner contre une plante, ils
les chargent sur des véhicules et les conduisent dans le camp, à quelques
kilomètres de la ville. En parlent les sites actifs sur le front des droits
humains, comme trueactivist.com, mais peu d’autres sites. La ségrégation
s’accompagne du secret. Du moins jusqu’à ce que, aux débuts de novembre de
cette année, une équipe de la NBC se retrouve à filmer une prison
abandonnée dans les environs de New York, pour un service culturel, sans y
parvenir. L’opérateur n’a pas le temps de commencer le tournage que depuis la
prison sort un gradé, on ne comprend pas de quelle arme, et ordonne à la NBC de
s’éloigner. C’est un contractor. La prison n’est pas abandonnée, on ne
peut pas filmer, et elle n’est pas gérée par un Département d’Etat mais par une
police privée (globalresearch.ca).
Ce qui en fait deux avec l’histoire de la puce
qu’on voudrait implanter sous la peau des sans domicile fixe de Columbia en
Caroline du Nord, mais surtout commence à intéresser à ces lieux de
détention les Etats-uniens, alors que le Wall Street Journal claironne un
jour sur deux la diminution du chômage qui permettrait l’augmentation des taux
d’intérêt aux USA et en Angleterre. Tout en excluant le fait que les paramètres
par lesquels on établit le taux de chômage restent secrets (et sous le
gouvernement Thatcher en Angleterre ils changèrent jusqu’à 37 fois!), parce que
plus que rendre compte d’un phénomène économique et social, ils résultent d’un
dispositif d’accréditation politique, voué à instiller plus de confiance à
l’étranger, et un espoir majeur et la stabilité à l’intérieur («Tu ne vas
tout de même pas faire la révolution maintenant qu’il y a du boulot!»).
Mais on s’interroge aussi sur combien ce sens
de la « qualité de vie» aujourd’hui dans les mains de
polices urbaines et privées, les contractors, ne soit pas généralisé. En
défense non seulement de l’esthétique métropolitaine, mais aussi si ce n’est
surtout, de ce gap social qui de plus en plus fait surgir des quartiers privés, équipés de surveillance armée, clôtures et
barbelés, pour garder, celles-ci oui, les gens dehors et non pas dedans. Du
monde dedans, du monde dehors, à ne pas voir, ou à voir le moins possible,
ségréguer pour ne pas éveiller de malaise, pour garder les rues propres.
«Mais est-ce celle-là l’Amérique que
nous voulons?» se demandent beaucoup parmi eux.
source :
* * * * * *
Les camps de la FEMA :
Ces camps étaient réservés aux manifestants en cas de gros problème ou à ceux qui refusaient la vaccination comme le H1N1. Les lanceurs d’alerte nous ont évité cela, y compris en France.
Lors de la grippe H1N1, ceux qui refusaient de se faire vacciner devaient être interner dans des camps, et bien pire. J'ai vu leur préparation en Inde à grande échelle.
Ils sont en train de remettre ce scénario en place pour Ebola, ils veulent proclamer la loi martiale et désarmer les américains.
Ils veulent affoler la population et lancer la vaccination obligatoire contre Ebola, mais, le virus est dans le vaccin et celui qui ne voudra pas se faire vacciner sera mis dans un de ces camps.
Les personnes qui sont mortes en Afrique ont reçu une de la croix rouge qui est une ONG de la CIA aux mains de la Cabale.
Certains africains refusaient de travailler dans les mines de diamant.
Ce virus créé en laboratoire avait donc plus d'un but. Les vaccinations ont toujours servis à éliminer des africains.
"TAKE NOTICE": "FORCED VACCINATION CHECK
POINTS", "RFID BRACELETS, & FEMA CAMPS"
FORCED VACCINATION CHECKPOINTS RFID BRACELETS
AND FEMA CAMPS
Lorsqu’ils parlent ici d’Obama, il
s’agit des personnes qui l’obligeaient à agir selon leur volonté.
Pour ce qui est de Pearl Harbour, ils
étaient avertis du bombardement et on laissé faire, ne prévenant qu’un soldat
américain dont ils avaient besoin pour l’opération « philadelphie »
https://www.youtube.com/watch?v=P13aQ9Stp1g
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Aux Etats-Unis,
la torture dans les prisons peut parfois virer au sadisme. Le pays le plus
carcéral du monde qui chante la liberté sur tous les tons. Le pays le plus inégalitaire
où la torture est presque une institution (un prisonnier doit souffrir pour expier…)
qui s’autoproclame le pays du droit et la justice. Comment
s’en étonner, puiqu’il se proclamait déjà ainsi pendant que ceux qui le clamaient
possédaient des centaines d’esclaves, comme une certain président des USA ?
Le «système» veut nous faire croire par des reportages par
exemple de «National géographic» que ce sont uniquement des personnes dangereuse
qui sont dans ces prisons. Certes il y en a mais plus on les traite brutalement
sans respect, plus ils tomberont dans des dérives.
Et il y a surtout des personnes qui dérangent le système et qu’il
faut empêcher de parler, ils ne peuvent tous les tuer, ça deviendrait suspect!
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